Algérie

Des centres fédéraux pour le tennis Sports : les autres articles



Des centres fédéraux pour le tennis Sports : les autres articles
La dernière réunion bilatérale tenue par le président de la Fédération algérienne de tennis (FAT), le docteur Mohamed Bouabdallah, et quelques-uns des élus du BF, avec le directeur général des sports au ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS), Mokhtar Boudina, accompagné de certains de ses collaborateurs, a redonné des couleurs à l'avenir de la discipline.
Ce sont les propos optimistes du président de la FAT, impressionné «par la capacité d'écoute des cadres du MJS». Il y a de quoi, en effet, quand on apprend, entre autres, que les sollicitations de la FAT, en matière de recrutement d'entraîneurs étrangers, ont été accueillies avec intérêt. Ce point est très important dans la mesure où, malheureusement, le tennis, chez nous, a encore des entraîneurs qui «fonctionnent avec des méthodes plus que surannées». C'est une réalité que personne ne peut occulter et que la plupart des anciens bureaux fédéraux ont tenté de combattre, avec plus ou moins de succès, selon la conjoncture du moment au MJS.
L'autre point, très important pour le tennis algérien, a trait à la possibilité d'avoir, prochainement, d'autres centres fédéraux. Pour l'instant, la FAT n'a que celui de Annaba. Les projets, qui ne tarderont pas à être concrétisés, concerneraient le complexe de tennis de Bachdjerrah «géré» actuellement par l'OCO dans des conditions qui ne répondent pas du tout aux souhaits des pratiquants, celui de l'OPOW à Oran où, nous dit-on, «les courts, qui n'ont pas été refaits depuis belle lurette, ne répondent plus aux normes internationales. Ils pourraient même être une source de danger pour les joueurs qui sont contraints d'évoluer sur des surfaces de jeu obsolètes».
Enfin, le troisième projet porterait sur le Tennis Club d'El Alia, à Biskra, où les courts laissent aussi à désirer. Une ville et une région où le tennis a toujours suscité profond intérêt sous l'impulsion d'un grand dirigeant disparu, le regretté Abdelmadjid Ounis. Bref, recrutement d'entraîneurs étrangers et ouverture de centres fédéraux dignes de ce nom sont les deux nouvelles les plus à même de booster véritablement la discipline.


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