Pour les épreuves de l'examen de fin de cycle primaire qui auront lieu ce mercredi, le ministère de l'Education nationale aurait instruit les directeurs de l'éducation de prendre les dispositions requises pour la mise en place des brouilleurs des relais de transmission de la téléphonie mobile aux abords des centres d'examen. Pourtant, la ministre de tutelle a assuré récemment que son département ne recourait pas à ces mesures extrêmes le jour de l'examen. Il faut croire que pour des enfants âgés entre dix et onze, candidats à l'examen de 5e année primaire, les présomptions de tricherie pèsent aussi même si à des proportions inférieures que pour les candidats aux épreuves du BEM et du bac. Malgré les précautions prises dans de nombreuses villes, les directeurs de l'éducation incitent les parents à confisquer les téléphones mobiles de leurs enfants. "Avoir sur soi un téléphone portable lors des examens, même s'il n'est pas utilisé, est considéré comme une tentative de triche et par conséquent le candidat sera immédiatement exclu de l'examen", insiste le DE de la wilaya de Boumerdès. "Le téléphone portable est interdit également pour tous les enseignants réquisitionnés pour la surveillance des candidats durant les épreuves", complète-t-il.
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Posté Le : 23/05/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Liberté
Source : www.liberte-algerie.com