Algérie

Des blessés dans des affrontements entre médecins résidents et policiers



Le rassemblement national des médecins résidents à l'hôpital Mustapha , à Alger ,s'est transformé en confrontation directe entre policiers et médecins grévistes quand ces derniers ont tenté de se rassembler à l'extérieur de l'enceinte hospitalière. Les forces de l'ordre, déployées en forceLe rassemblement national des médecins résidents à l'hôpital Mustapha , à Alger ,s'est transformé en confrontation directe entre policiers et médecins grévistes quand ces derniers ont tenté de se rassembler à l'extérieur de l'enceinte hospitalière. Les forces de l'ordre, déployées en force
Car les forces de l'ordre ont empêché même les malades d'y entrer notamment par les deux portes accessibles de la Place du 1er mai. Ainsi la tentative des médecins grévistes de quitter le centre hospitalo-universitaire, a été violemment empêchée. Les forces anti-émeutes ont repoussé violemment les grévistes à l'intérieur de l'enceinte hospitalière avant de la fermer. Des blessés ont été enregistrés parmi les médecins présents à ce rassemblement. Les grévistes, qui ont déployé des banderoles, ont scandé des slogans hostiles à leur tutelle qui n'a pas répondu à leurs revendications.
Pour rappel, les médecins résidents, qui ont entamé depuis deux mois un mouvement de protestation, s'insurgent contre le fait qu'ils soient affectés d'office dans des régions isolées pour travailler dans une infrastructure publique durant au moins deux années sans que leurs situations familiales ne soient prises en considération. Ils revendiquent, notamment la révision du service civil dans sa forme actuelle. Une revendication qui ne semble pas prête d'aboutir puisque, à maintes reprises , le ministre de la Santé a répété que le service civil ne sera pas abandonné.
Tout au plus le ministère a promis d'améliorer les conditions de travail des médecins spécialistes affectés dans les régions du Sud et des Hauts- Plateaux notamment. Les grévistes se plaignent des conditions de travail difficiles au niveau des régions vers lesquelles ils sont généralement affectés. Des conditions difficiles qui se caractérisent, notamment par l'absence de logements, de moyens de transports ou encore de moyens propres à leurs métiers et même d'agents paramédicaux.
Car les forces de l'ordre ont empêché même les malades d'y entrer notamment par les deux portes accessibles de la Place du 1er mai. Ainsi la tentative des médecins grévistes de quitter le centre hospitalo-universitaire, a été violemment empêchée. Les forces anti-émeutes ont repoussé violemment les grévistes à l'intérieur de l'enceinte hospitalière avant de la fermer. Des blessés ont été enregistrés parmi les médecins présents à ce rassemblement. Les grévistes, qui ont déployé des banderoles, ont scandé des slogans hostiles à leur tutelle qui n'a pas répondu à leurs revendications.
Pour rappel, les médecins résidents, qui ont entamé depuis deux mois un mouvement de protestation, s'insurgent contre le fait qu'ils soient affectés d'office dans des régions isolées pour travailler dans une infrastructure publique durant au moins deux années sans que leurs situations familiales ne soient prises en considération. Ils revendiquent, notamment la révision du service civil dans sa forme actuelle. Une revendication qui ne semble pas prête d'aboutir puisque, à maintes reprises , le ministre de la Santé a répété que le service civil ne sera pas abandonné.
Tout au plus le ministère a promis d'améliorer les conditions de travail des médecins spécialistes affectés dans les régions du Sud et des Hauts- Plateaux notamment. Les grévistes se plaignent des conditions de travail difficiles au niveau des régions vers lesquelles ils sont généralement affectés. Des conditions difficiles qui se caractérisent, notamment par l'absence de logements, de moyens de transports ou encore de moyens propres à leurs métiers et même d'agents paramédicaux.


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