Des appellations problémtiques '

En 2012, juste après l'annonce de l'initiative de l'ICANN d'élargir la liste des noms de domaines, « un panel de 50 gouvernements nationaux a dressé une liste d'objections sur les prochaines extensions génériques (gTLD)... reprochent aux sociétés de vouloir préempter des suffixes à usage général », lit-on sur le site www.lemondeinformatique.fr qui rapporte par là même que durant l'été dernier « l'Arabie Saoudite s'est opposée à plusieurs gTLD, dont le.gay. Selon elle, cette extension favoriserait l'homosexualité. » D'autres pays se sont plaints de certaines extensions, comme l'Argentine avec .patagonia, le nom d'une région, mais aussi la marque d'une société privée. Le GAC (Government Advisory Committee) a présenté une liste de 242 « avertissements anticipés » sur des extensions sensibles à l'ICANN. Ces avis comprennent principalement de demandes d'informations ou des éclaircissements sur certaines extensions. On peut citer la France qui est très actif sur le .hotel ou le .vin, ainsi que le.health et.bio. L'Australie s'interroge, elle, sur le dépôt par l'Oréal de .beauty, .hair, .skin ou .hair. Parmi les autres inquiétudes, ajoute le site « des gouvernements, les termes religieux comme .islam, .bible ou .church. »