Dénoncer les criminels et les kidnappeurs d'enfants, un devoir

La revue « Echorta », éditée par la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), est revenue, dans son dernier numéro, sur le dispositif « Alerte kidnapping enfants », opérationnel officiellement depuis le mois d'août dernier. Dans l'éditorial, le chef de la cellule de communication et de presse de la DGSN, le commissaire principal Amar Laroum, a mis l'accent sur l'importance de la dénonciation et l'alerte en temps réel. « La vulgarisation de la culture de l'alerte est un devoir de toutes les institutions de la société pour protéger ses intérêts, notamment la famille, l'école et toutes les institutions sans exception, sans ignorer le rôle important des médias dans la sauvegarde et la préservation de la sécurité de la société », a-t-il souligné, notamment avec le recours aux moyens technologiques de communication. En ce sens, la revue a publié l'instruction du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, relative à la mise en œuvre de ce dispositif qui constitue un système sécuritaire efficace pour la protection de nos enfants de toutes formes de criminalité. Le dossier de la revue a été consacré, dans ce numéro, à la Fête nationale de la police algérienne et au bilan positif après 22 ans d'existence, tout en se référant au message du vice-ministre de la Défense nationale et chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, qui a souligné que la police est considérée comme un symbole d'un Etat fort et de justice.