Algérie

Dénonçant l'agression israélienne contre les civils à Ghaza



Dénonçant l'agression israélienne contre les civils à Ghaza
L'agression israélienne contre les populations palestiniennes désarmées à Gaza, suscite des réactions de désapprobation à travers le monde, y compris en Israël même. Plusieurs milliers de personnes ont battu le pavé dimanche en France, notamment à Paris et à Lille, en soutien aux Palestiniens et pour dénoncer l'agression israélienne contre Ghaza. En effet, ils étaient nombreux à se diriger dans le calme en direction de la place de la République, à Paris, derrière une grande banderole proclamant "Soutien total à la lutte du peuple palestinien". La foule, très jeune et féminine, scandait des slogans comme: "Nous sommes tous des Palestiniens!", "Israël assassin!" ou "Une seule solution, fin de l'occupation!". De nombreux manifestants portaient des pancartes sur lesquelles ils avaient collé des photos représentant des enfants palestiniens tués ou blessés, des maisons rasées ou des champignons de fumée montant de quartiers de Gaza bombardés. "Non au massacre des civils palestiniens", pour le "boycott d'Israël", sont les principaux slogans scandés par les manifestants, des deux sexes et de tous âges, qui ont crié leur colère contre le bombardement des innocents. Un groupe de jeunes filles voilées, notamment, portaient des panneaux sur lesquels elles ont écrit: "Résister est un droit" ou "Les Palestiniens ne partiront pas, ils sont chez eux". Près de là, un jeune homme a collé une photo du président François Hollande avec la mention "Complice". A Lille, également ce sont entre 2 300 et 6 000 personnes, selon la police et les organisateurs, qui ont défilé en soutien aux habitants de Gaza et contre Israël. Cela a lieu au moment où des efforts diplomatiques s'intensifient pour obtenir un cessez-le-feu. Mais Israël, qui ne l'entend pas de cette oreille, a promis d'intensifier ses bombardements sur la bande de Ghaza tant qu'il n'aura pas atteint les objectifs de son opération "Protective Edge" (barrière protectrice), qui en était, hier à son septième jour.A. R.NomAdresse email




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