Algérie

Dégel du recrutements des contractuels



Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a instruit la direction générale de laFonction publique de lever le gel sur lescontrats de recrutement du pré-emploi.Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a instruit la direction générale de laFonction publique de lever le gel sur lescontrats de recrutement du pré-emploi.
Lerenouvellement de ces contrats sera automatique et ne sera pas soumis au visa dela DG de la Fonction publique.Après avoir observé un gel de recrutement dans les administrations publiques, lescontractuels peuvent désormais prétendre au renouvellement de leurs contrats de travail. Les wilayas, daïras et APC ont étéinstruites par le Premier ministre dansune correspondance datant du 9 mai dernier de procéder au renouvellement de contrats d'embauche pour les travailleurscontractuels sans mandat spécifique desinspections de la Fonction publique. Il faut savoir que près de 2 millions decontractuels sont concernés par cette décisionqui met fin aux contraintes subiespar ces derniers en matière de reconductiondes contrats CDD.
Une nouvelle quiva rassurer ces contractuels où ce sont les postulants dans les différentes activités del'administration publique qui vont se réjouir. Ces derniers ne pouvaient pasauparavant se réinsérer dans leurs postesd'emplois suite à la décision gouvernementaleportant sur le gel de recrutementdans la fonction publique. La plupart deces contrats du pré-emploi ont été sommésde quitter leurs emplois après desannées d'activité et avec des salaires proches plutôt d'indemnités versés par l'Anem.
Une situation qui a fait perdre espoir aux jeunes chômeurs où la fonction publique reste le pourvoyeur d'emploisle plus visible en Algérie. Selon un bilan de la fonction publique, seulement 2 % des postulants ont été placés dans les différentes administrations publiques durant les 9 derniers mois. Les raisons financières invoquées par le gouvernement d'alors ont conduit à des coupes budgétaires et l'arrêt des autorisations de programmes pour ces secteurs. Mais cette situation qui a perduré pour ces deux dernières années a créé plus d'embarras étant donné que les départs à la retraie ont été significatifs et le remplacement aux postes est devenu quasi impossible avec 'ancienne directive.
Aujourd'hui et à la faveur d'un début d'embellie financière résultant d'une petite amélioration des recettes hydrocarbures, l'Etat peut compter sur le recrutement de ces jeunes aux postes administratifs et surtout pour les emplois vacants. Les secteurs de la Santé et de l'Education seront également concernés par la régularisation de certaines fonctions où un manque a été constaté. On pense notamment aux corps communs dans les institutions publiques qui ont adressé de nombreux courriers aux différents ministères pour débloquer la situation dans la perspective des nouveaux contrats.
Lerenouvellement de ces contrats sera automatique et ne sera pas soumis au visa dela DG de la Fonction publique.Après avoir observé un gel de recrutement dans les administrations publiques, lescontractuels peuvent désormais prétendre au renouvellement de leurs contrats de travail. Les wilayas, daïras et APC ont étéinstruites par le Premier ministre dansune correspondance datant du 9 mai dernier de procéder au renouvellement de contrats d'embauche pour les travailleurscontractuels sans mandat spécifique desinspections de la Fonction publique. Il faut savoir que près de 2 millions decontractuels sont concernés par cette décisionqui met fin aux contraintes subiespar ces derniers en matière de reconductiondes contrats CDD.
Une nouvelle quiva rassurer ces contractuels où ce sont les postulants dans les différentes activités del'administration publique qui vont se réjouir. Ces derniers ne pouvaient pasauparavant se réinsérer dans leurs postesd'emplois suite à la décision gouvernementaleportant sur le gel de recrutementdans la fonction publique. La plupart deces contrats du pré-emploi ont été sommésde quitter leurs emplois après desannées d'activité et avec des salaires proches plutôt d'indemnités versés par l'Anem.
Une situation qui a fait perdre espoir aux jeunes chômeurs où la fonction publique reste le pourvoyeur d'emploisle plus visible en Algérie. Selon un bilan de la fonction publique, seulement 2 % des postulants ont été placés dans les différentes administrations publiques durant les 9 derniers mois. Les raisons financières invoquées par le gouvernement d'alors ont conduit à des coupes budgétaires et l'arrêt des autorisations de programmes pour ces secteurs. Mais cette situation qui a perduré pour ces deux dernières années a créé plus d'embarras étant donné que les départs à la retraie ont été significatifs et le remplacement aux postes est devenu quasi impossible avec 'ancienne directive.
Aujourd'hui et à la faveur d'un début d'embellie financière résultant d'une petite amélioration des recettes hydrocarbures, l'Etat peut compter sur le recrutement de ces jeunes aux postes administratifs et surtout pour les emplois vacants. Les secteurs de la Santé et de l'Education seront également concernés par la régularisation de certaines fonctions où un manque a été constaté. On pense notamment aux corps communs dans les institutions publiques qui ont adressé de nombreux courriers aux différents ministères pour débloquer la situation dans la perspective des nouveaux contrats.


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