La lutte contre le cancer devient l'affaire, non seulement des pouvoirs publics et sa politique d'investissements massifs, mais également de tous les différents intervenants, tels que les hôpitaux, les médias et les organisations et associations caritatives.
La lutte contre le cancer devient l'affaire, non seulement des pouvoirs publics et sa politique d'investissements massifs, mais également de tous les différents intervenants, tels que les hôpitaux, les médias et les organisations et associations caritatives.
Ainsi, les participants au Congrès scientifique d'oncologie qui a eu lieu, hier à l'hôtel Hilton, sous le thème «Cancer : Défis et innovations technologiques» ont longuement débattu la problématique inhérente à ce fléau considéré comme l'une des principales causes de décès en Algérie.
Organisée par Philips Healthcare, sous le haut patronage du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, cette importante rencontre a réuni près d'une dizaine d'experts nationaux et internationaux et pas moins de 200 acteurs spécialisés dans ce secteur médicale. L'objectif essentiel consiste, notamment, à partager les expériences concernant les meilleures solutions pour un nouveau modèle de traitement du cancer.
Réduction des coûts
Les soins de meilleure qualité à moindre coût et la prise en charge effective et efficace des patients ont été le cheval de bataille des spécialistes durant cette journée scientifique.
En effet, le directeur général de Philips Healthcare Afrique, Peter Van de Ven, a déclaré que «l'avenir des soins est un des problèmes les plus urgents de notre époque.
Chez Philips, nous sommes passionnés par le développement des soins de santé en Afrique. Ce n'est qu'à travers un dialogue et une collaboration continus que nous pourrons construire de meilleures solutions de soins de santé qui améliorent les soins prodigués aux patients et réduire les coûts et les garder sous contrôle».
Une étude récente intitulée «Stratégie renforcée de lutte contre le cancer», du bureau d'études et conseils Oxford Business Group (OBG) montre que «l'Etat algérien a fortement revu ses dépenses à la hausse dans le domaine de la prévention et du traitement du cancer avec, en perspective, la création d'un grand nombre de nouveaux hôpitaux spécialisés et de centres anti-cancer». Il ajoute «l'Algérie n'en est pas à ses premières armes en matière de lutte contre le cancer : en 2003, le pays a été parmi les premiers d'Afrique du Nord à développer un programme national de lutte contre cette maladie et contre d'autres maladies non transmissibles que l'objectif du gouvernement est de faire passer le nombre de centres anti-cancer de 4 à 22 d'ici 2014 et ouvrir un centre de diagnostic dans chaque wilaya et chaque daïra».
Pour autant, «les dépenses qui seront consacrées en 2012 à la lutte contre le cancer ne constituent qu'une partie d'un plan d'investissement plus vaste actuellement en cours dans le domaine de la santé, a ajouté encore la revue spécialisée, affirmant que le plan quinquennal d'investissement 2010-2014 qui englobe toutes les dépenses publiques prévoit le financement de 45 nouveaux complexes spécialisés de santé, dont 15 unités de cancérologie» ajoute cette étude. Le département ministériel d'Ould Abbès indique qu'un budget de 21 milliards DA (211,9 millions d'euros) pour la prise en charge du cancer en 2012 et s'est fixé comme priorité d'améliorer l'accès aux services pour les patients, en particulier dans les régions les plus reculées selon OBG. À l'inauguration du Congrès d'oncologie, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a souligné que l'Etat a mis en garde les importateurs qui n'ont pas respecté leurs programmes d'importations que nous leur avons délivrés le 15 novembre dernier. Un délai jusqu'au 20 avril prochain leur a été notifié. Et d'ici le 25 avril, les importateurs qui n'auront pas importé les quantités pour lesquelles ils se sont engagées, ils verront leur agréments retirer et éliminer du secteur de la santé ».
Ould Abbès a également affirmé qu'entre-temps, des instructions ont été données à la PCH de « commander chez ses fournisseurs les médicaments essentiels contre le cancer Et ces médicaments sont en train d'arriver actuellement. Si jamais les importateurs concernés respectent leurs engagements avant le 25 avril, il faut mieux avoir plus que moins. «De toutes les façons le problème est pris en charge avec efficacité».
Ainsi, les participants au Congrès scientifique d'oncologie qui a eu lieu, hier à l'hôtel Hilton, sous le thème «Cancer : Défis et innovations technologiques» ont longuement débattu la problématique inhérente à ce fléau considéré comme l'une des principales causes de décès en Algérie.
Organisée par Philips Healthcare, sous le haut patronage du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, cette importante rencontre a réuni près d'une dizaine d'experts nationaux et internationaux et pas moins de 200 acteurs spécialisés dans ce secteur médicale. L'objectif essentiel consiste, notamment, à partager les expériences concernant les meilleures solutions pour un nouveau modèle de traitement du cancer.
Réduction des coûts
Les soins de meilleure qualité à moindre coût et la prise en charge effective et efficace des patients ont été le cheval de bataille des spécialistes durant cette journée scientifique.
En effet, le directeur général de Philips Healthcare Afrique, Peter Van de Ven, a déclaré que «l'avenir des soins est un des problèmes les plus urgents de notre époque.
Chez Philips, nous sommes passionnés par le développement des soins de santé en Afrique. Ce n'est qu'à travers un dialogue et une collaboration continus que nous pourrons construire de meilleures solutions de soins de santé qui améliorent les soins prodigués aux patients et réduire les coûts et les garder sous contrôle».
Une étude récente intitulée «Stratégie renforcée de lutte contre le cancer», du bureau d'études et conseils Oxford Business Group (OBG) montre que «l'Etat algérien a fortement revu ses dépenses à la hausse dans le domaine de la prévention et du traitement du cancer avec, en perspective, la création d'un grand nombre de nouveaux hôpitaux spécialisés et de centres anti-cancer». Il ajoute «l'Algérie n'en est pas à ses premières armes en matière de lutte contre le cancer : en 2003, le pays a été parmi les premiers d'Afrique du Nord à développer un programme national de lutte contre cette maladie et contre d'autres maladies non transmissibles que l'objectif du gouvernement est de faire passer le nombre de centres anti-cancer de 4 à 22 d'ici 2014 et ouvrir un centre de diagnostic dans chaque wilaya et chaque daïra».
Pour autant, «les dépenses qui seront consacrées en 2012 à la lutte contre le cancer ne constituent qu'une partie d'un plan d'investissement plus vaste actuellement en cours dans le domaine de la santé, a ajouté encore la revue spécialisée, affirmant que le plan quinquennal d'investissement 2010-2014 qui englobe toutes les dépenses publiques prévoit le financement de 45 nouveaux complexes spécialisés de santé, dont 15 unités de cancérologie» ajoute cette étude. Le département ministériel d'Ould Abbès indique qu'un budget de 21 milliards DA (211,9 millions d'euros) pour la prise en charge du cancer en 2012 et s'est fixé comme priorité d'améliorer l'accès aux services pour les patients, en particulier dans les régions les plus reculées selon OBG. À l'inauguration du Congrès d'oncologie, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a souligné que l'Etat a mis en garde les importateurs qui n'ont pas respecté leurs programmes d'importations que nous leur avons délivrés le 15 novembre dernier. Un délai jusqu'au 20 avril prochain leur a été notifié. Et d'ici le 25 avril, les importateurs qui n'auront pas importé les quantités pour lesquelles ils se sont engagées, ils verront leur agréments retirer et éliminer du secteur de la santé ».
Ould Abbès a également affirmé qu'entre-temps, des instructions ont été données à la PCH de « commander chez ses fournisseurs les médicaments essentiels contre le cancer Et ces médicaments sont en train d'arriver actuellement. Si jamais les importateurs concernés respectent leurs engagements avant le 25 avril, il faut mieux avoir plus que moins. «De toutes les façons le problème est pris en charge avec efficacité».
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Posté Le : 16/04/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Amar Aouimer
Source : www.lemidi-dz.com