Algérie

Décès du journaliste Mohamed Saïd Ziad



Décès du journaliste Mohamed Saïd Ziad
De journaliste Mohamed Saïd Ziad est décédé hier matin à l'hôpital d'Azazga (Tizi-Ouzou), à l'âge de 80 ans, des suites d'une maladie, a-t-on appris auprès de ses proches. Né le 10 février 1934 à Djemaâ Saharidj, dans l'actuelle commune de Mekla, Mohamed Saïd avait embrassé le métier de journaliste, dès le début des années 1960, en travaillant notamment dans les quotidiens Alger Républicain, El Djoumhouria et En-Nasr, avant d'atterrir à l'hebdomadaire Algérie Actualité.De journaliste Mohamed Saïd Ziad est décédé hier matin à l'hôpital d'Azazga (Tizi-Ouzou), à l'âge de 80 ans, des suites d'une maladie, a-t-on appris auprès de ses proches. Né le 10 février 1934 à Djemaâ Saharidj, dans l'actuelle commune de Mekla, Mohamed Saïd avait embrassé le métier de journaliste, dès le début des années 1960, en travaillant notamment dans les quotidiens Alger Républicain, El Djoumhouria et En-Nasr, avant d'atterrir à l'hebdomadaire Algérie Actualité.Sa signature était particulièrement connue au sein de cet hebdomadaire, où il animait une chronique "Sagesse du terroir", dans laquelle, il racontait, à la manière d'un Jean de La Fontaine, les relations entre les animaux, leurs vices et leurs vertus, qui lui valurent parfois des déboires avec les responsables de l'époque.Sorti en retraite, il y a une vingtaine d'années, il rejoint Djemaâ Saharidj pour y prendre soin de ses roses, dont il vantait tellement les éclats et les parfums à ses amis sur la place d'Alger.Ainsi s'arrêta l'histoire de Mohamed Saïd Ziad, une histoire qu'il avait toujours commencée, tels les conteurs, par sa célèbre tirade "Maâchaou".Son enterrement aura lieu lundi après la prière du Dhor au niveau de son village natal.Sa signature était particulièrement connue au sein de cet hebdomadaire, où il animait une chronique "Sagesse du terroir", dans laquelle, il racontait, à la manière d'un Jean de La Fontaine, les relations entre les animaux, leurs vices et leurs vertus, qui lui valurent parfois des déboires avec les responsables de l'époque.Sorti en retraite, il y a une vingtaine d'années, il rejoint Djemaâ Saharidj pour y prendre soin de ses roses, dont il vantait tellement les éclats et les parfums à ses amis sur la place d'Alger.Ainsi s'arrêta l'histoire de Mohamed Saïd Ziad, une histoire qu'il avait toujours commencée, tels les conteurs, par sa célèbre tirade "Maâchaou".Son enterrement aura lieu lundi après la prière du Dhor au niveau de son village natal.




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