Algérie

Début timide à Tizi-Ouzou



Début timide à Tizi-Ouzou
La campagne électorale dans la wilaya de Tizi-Ouzou n'atteindra sa vitesse de croisière qu'au cours de la dernière semaine.
C'est ce à quoi nous ont habitués les différents partis coutumiers de cette joute. Hier donc, la campagne électorale a certes démarré dans la wilaya de Tizi-Ouzou à l'instar du reste du pays, mais timidement. Ce sont pas moins de trente listes de candidats qui entrent en lice pour conquérir les quinze sièges dont est dotée la wilaya de Tizi-Ouzou. Deux listes indépendantes ainsi que celles de pas moins de trente partis politiques politiques toutes tendances confondues. On retrouve les partis traditionnellement présents dans la région depuis 1991 mais aussi de nouveaux partis dont l'agrément a été obtenu il y a à peine quelques semaines. Hier, le Front des forces socialistes a été le premier à avoir organisé une sortie médiatique en organisant un point de presse en son siège au chef-lieu de wilaya. La rencontre avec les représentants de la presse nationale s'est déroulée en présence des candidats du parti FFS ainsi que de quelques responsables locaux du parti. L'absence de nombre de figures connues du FFS à cette première sortie électorale a été remarquée. Une absence qui s'explique par la grogne née à la suite de la conception des listes électorales qui sont loin de faire l'unanimité dans les rangs de la formation politique qui prend part à cette élection avec un grand optimiste surtout après le boycott de son parti rival, le Rassemblement pour la culture et la démocratie. Le mécontentement est aussi palpable au sein du parti du Front de libération nationale. Juste après l'annonce de la liste des candidats, les communiqués des différentes kasmas ont commencé à pleuvoir sur les bureaux locaux de la presse pour dénoncer ce qui est qualifié d'absence d'équité dans le choix des candidats. Pour l'instant, parmi les «vieux partis», seul le Rassemblement national démocratique (RND) n'a pas connu de réaction négative quant à la conception de ses listes. Même le Mouvement populaire algérien (ex-Union démocratique pour la République) de Amara Benyounès n'a pas échappé à la vague de mécontentement. Des personnalités connues localement pour être acquises au MPA ont signé un communiqué pour dire leur refus de cautionner la liste élaborée.
Pour les nouveaux partis et les indépendants, on n'en sait pas beaucoup pour l'instant. Quant aux pronostics, il est pratiquement impossible d'en établir attendu que c'est la première fois qu'autant de listes sont enregistrées dans la wilaya. Ceci, même si certaines options semblent certaines comme celle de l'impossibilité pour les partis islamistes d'obtenir ne serait-ce qu'un siège dans cette wilaya où l'utilisation de l'Islam à des fins politiques n'a pas droit de cité.
La campagne électorale dans la wilaya de Tizi-Ouzou n'atteindra sa vitesse de croisière qu'au cours de la dernière semaine.
C'est ce à quoi nous ont habitués les différents partis coutumiers de cette joute. Hier donc, la campagne électorale a certes démarré dans la wilaya de Tizi-Ouzou à l'instar du reste du pays, mais timidement. Ce sont pas moins de trente listes de candidats qui entrent en lice pour conquérir les quinze sièges dont est dotée la wilaya de Tizi-Ouzou. Deux listes indépendantes ainsi que celles de pas moins de trente partis politiques politiques toutes tendances confondues. On retrouve les partis traditionnellement présents dans la région depuis 1991 mais aussi de nouveaux partis dont l'agrément a été obtenu il y a à peine quelques semaines. Hier, le Front des forces socialistes a été le premier à avoir organisé une sortie médiatique en organisant un point de presse en son siège au chef-lieu de wilaya. La rencontre avec les représentants de la presse nationale s'est déroulée en présence des candidats du parti FFS ainsi que de quelques responsables locaux du parti. L'absence de nombre de figures connues du FFS à cette première sortie électorale a été remarquée. Une absence qui s'explique par la grogne née à la suite de la conception des listes électorales qui sont loin de faire l'unanimité dans les rangs de la formation politique qui prend part à cette élection avec un grand optimiste surtout après le boycott de son parti rival, le Rassemblement pour la culture et la démocratie. Le mécontentement est aussi palpable au sein du parti du Front de libération nationale. Juste après l'annonce de la liste des candidats, les communiqués des différentes kasmas ont commencé à pleuvoir sur les bureaux locaux de la presse pour dénoncer ce qui est qualifié d'absence d'équité dans le choix des candidats. Pour l'instant, parmi les «vieux partis», seul le Rassemblement national démocratique (RND) n'a pas connu de réaction négative quant à la conception de ses listes. Même le Mouvement populaire algérien (ex-Union démocratique pour la République) de Amara Benyounès n'a pas échappé à la vague de mécontentement. Des personnalités connues localement pour être acquises au MPA ont signé un communiqué pour dire leur refus de cautionner la liste élaborée.
Pour les nouveaux partis et les indépendants, on n'en sait pas beaucoup pour l'instant. Quant aux pronostics, il est pratiquement impossible d'en établir attendu que c'est la première fois qu'autant de listes sont enregistrées dans la wilaya. Ceci, même si certaines options semblent certaines comme celle de l'impossibilité pour les partis islamistes d'obtenir ne serait-ce qu'un siège dans cette wilaya où l'utilisation de l'Islam à des fins politiques n'a pas droit de cité.




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