Quelque 60 candidatures seront examinées pour inscription sur les listes du patrimoine immatériel lors de la 7e session du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel qui se tiendra au siège de l'Unesco, dans la capitale française, du 3 au 7 décembre, a-t-on appris lundi auprès de l'organisation.
Parmi ces candidatures figurent notamment le chant bouddhique du Ladakh (Inde), le tissage du chapeau de paille (Equateur) ou le savoir-faire traditionnel du violon à Cremone (Italie). Le comité examinera également les rapports périodiques soumis par 16 Etats parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Ces rapports détaillent l'impact qu'a pu avoir l'inscription sur les Listes pour la sauvegarde du patrimoine immatériel de ces pays.
Au cours de cette session, le comité se penchera sur les 36 candidatures pour inscription sur la liste représentative du patrimoine immatériel, et sur huit candidatures pour la liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente, qui vise à mobiliser la coopération et l'assistance internationale afin de préserver des expressions culturelles menacées et d'assurer leur transmission.
Deux candidatures pour le Registre des meilleures pratiques de sauvegarde et dix demandes d'assistance internationale pour des plans de sauvegarde ou d'inventaire feront l'objet d'un examen par le comité, a-t-on précisé.
A ce jour, la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente comprend 27 éléments dans 15 pays. La Liste représentative du patrimoine culturel immatériel compte 232 éléments dans 86 pays. Huit programmes ont été inclus dans le Registre des meilleures pratiques de sauvegarde.
Le patrimoine culturel immatériel désigne des pratiques et expressions transmises de génération en génération comme les traditions orales, les arts du spectacle, les pratiques sociales, les rituels et événements festifs, les connaissances et pratiques concernant la nature et l'univers ou encore les savoir-faire liés à l'artisanat traditionnel. Seuls les pays qui ont ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel peuvent présenter des éléments à l'inscription sur les Listes du patrimoine culturel immatériel.
A ce jour, 146 pays ont ratifié la Convention adoptée par la Conférence générale de l'Unesco en 2003.
L'Algérie est le premier Etat membre à ratifier la Convention de l'Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel la même année.
Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est composé de 24 représentants des Etats parties à la convention. Ses membres sont élus pour un mandat de quatre ans. La moitié des membres sont renouvelés tous les deux ans.
La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est un instrument juridique qui vient compléter les autres conventions de l'Unesco qui s'attachent, elles, à la préservation du patrimoine sous ses formes matérielles.
Quelque 60 candidatures seront examinées pour inscription sur les listes du patrimoine immatériel lors de la 7e session du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel qui se tiendra au siège de l'Unesco, dans la capitale française, du 3 au 7 décembre, a-t-on appris lundi auprès de l'organisation.
Parmi ces candidatures figurent notamment le chant bouddhique du Ladakh (Inde), le tissage du chapeau de paille (Equateur) ou le savoir-faire traditionnel du violon à Cremone (Italie). Le comité examinera également les rapports périodiques soumis par 16 Etats parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Ces rapports détaillent l'impact qu'a pu avoir l'inscription sur les Listes pour la sauvegarde du patrimoine immatériel de ces pays.
Au cours de cette session, le comité se penchera sur les 36 candidatures pour inscription sur la liste représentative du patrimoine immatériel, et sur huit candidatures pour la liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente, qui vise à mobiliser la coopération et l'assistance internationale afin de préserver des expressions culturelles menacées et d'assurer leur transmission.
Deux candidatures pour le Registre des meilleures pratiques de sauvegarde et dix demandes d'assistance internationale pour des plans de sauvegarde ou d'inventaire feront l'objet d'un examen par le comité, a-t-on précisé.
A ce jour, la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente comprend 27 éléments dans 15 pays. La Liste représentative du patrimoine culturel immatériel compte 232 éléments dans 86 pays. Huit programmes ont été inclus dans le Registre des meilleures pratiques de sauvegarde.
Le patrimoine culturel immatériel désigne des pratiques et expressions transmises de génération en génération comme les traditions orales, les arts du spectacle, les pratiques sociales, les rituels et événements festifs, les connaissances et pratiques concernant la nature et l'univers ou encore les savoir-faire liés à l'artisanat traditionnel. Seuls les pays qui ont ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel peuvent présenter des éléments à l'inscription sur les Listes du patrimoine culturel immatériel.
A ce jour, 146 pays ont ratifié la Convention adoptée par la Conférence générale de l'Unesco en 2003.
L'Algérie est le premier Etat membre à ratifier la Convention de l'Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel la même année.
Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est composé de 24 représentants des Etats parties à la convention. Ses membres sont élus pour un mandat de quatre ans. La moitié des membres sont renouvelés tous les deux ans.
La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est un instrument juridique qui vient compléter les autres conventions de l'Unesco qui s'attachent, elles, à la préservation du patrimoine sous ses formes matérielles.
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Posté Le : 28/11/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com