Algérie

De nouveaux textes pour réduire les accidents



Les études vont être réalisées prochainement par l'Organisme national;de contrôle techniquedes travaux publics (CTTP) en vued'élaborer descirculaires visant à renforcer la sécurité routière, a indiquéjeudi à Alger ledirecteur général decet organisme, Boumediene Oukaci.Les études vont être réalisées prochainement par l'Organisme national;de contrôle techniquedes travaux publics (CTTP) en vued'élaborer descirculaires visant à renforcer la sécurité routière, a indiquéjeudi à Alger ledirecteur général decet organisme, Boumediene Oukaci.
Contenu"Nous nous apprêtons à faire des études qui permettront d'élaborer des projets de circulaires pour assurer un maximum de sécurité sur les routes.
Ces circulaires concerneront la problématique du frottement des pneus avec la chaussée et de l'audit de la sécurité routière", a-t-il précisé lors d'une journée technique sur "la route plus sûre et plus durable", organisée en marge de la 15e édition du Salon international des travaux publics qui se tient du 28 novembre au 1er décembre. Dans leurs interventions lors de cette rencontre, des experts ont expliqué que la sécurité routière dépendait de trois facteurs : le conducteur, le véhicule et l'environnement tels les infrastructures et les ouvrages d'art.
La thématique de cette journée technique a porté essentiellement sur le volet environnemental, à savoir la route et les ouvrages d'art et leur impact sur la sécurité routière. "D'autant plus que nous les réalisons actuellement en se basant sur des techniques performantes et modernes", a indiqué un directeur central auprès du ministère desTravaux publics et desTransports, Salah Benloucif. Mais, il subsiste des mécanismesde correction à réaliseren vue de mettre à niveau ces infrastructures et de répondreainsi aux exigences actuelles. Selon lui, les impératifs du moment sont la réduction dunombre des victimes de la route alors que le nombre d'accidentsdemeure important.
Engénéral, près de 4.000 personnes perdent la vie annuellementdans des accidents de laroute en Algérie.Pour sa part, le secrétairegénéral du comité de la route transsaharienne, MohamedAyadi, a indiqué à la pressequ'actuellement, les techniques évoluent dans le paysoù de nouveaux outils etméthodes existent et sont utilisés en vue d'ériger desouvrages d'arts et de mettre à niveau les routes.
"Nousavons fait un bon nombre d'avancées:à l'indépendance du pays, nous avions 20.000 kmde routes, alors qu'actuellement,nous en avons 125.000 km et nous avons encore les moyens d'en réaliser davantage", a ajouté M. Ayadi. Il a également affirmé que bien que le facteur principal dans larécurrence des accidents de la route en Algérie reste l'excèsde vitesse, les causes techniques et environnementales en sont aussi des causes.
Contenu"Nous nous apprêtons à faire des études qui permettront d'élaborer des projets de circulaires pour assurer un maximum de sécurité sur les routes.
Ces circulaires concerneront la problématique du frottement des pneus avec la chaussée et de l'audit de la sécurité routière", a-t-il précisé lors d'une journée technique sur "la route plus sûre et plus durable", organisée en marge de la 15e édition du Salon international des travaux publics qui se tient du 28 novembre au 1er décembre. Dans leurs interventions lors de cette rencontre, des experts ont expliqué que la sécurité routière dépendait de trois facteurs : le conducteur, le véhicule et l'environnement tels les infrastructures et les ouvrages d'art.
La thématique de cette journée technique a porté essentiellement sur le volet environnemental, à savoir la route et les ouvrages d'art et leur impact sur la sécurité routière. "D'autant plus que nous les réalisons actuellement en se basant sur des techniques performantes et modernes", a indiqué un directeur central auprès du ministère desTravaux publics et desTransports, Salah Benloucif. Mais, il subsiste des mécanismesde correction à réaliseren vue de mettre à niveau ces infrastructures et de répondreainsi aux exigences actuelles. Selon lui, les impératifs du moment sont la réduction dunombre des victimes de la route alors que le nombre d'accidentsdemeure important.
Engénéral, près de 4.000 personnes perdent la vie annuellementdans des accidents de laroute en Algérie.Pour sa part, le secrétairegénéral du comité de la route transsaharienne, MohamedAyadi, a indiqué à la pressequ'actuellement, les techniques évoluent dans le paysoù de nouveaux outils etméthodes existent et sont utilisés en vue d'ériger desouvrages d'arts et de mettre à niveau les routes.
"Nousavons fait un bon nombre d'avancées:à l'indépendance du pays, nous avions 20.000 kmde routes, alors qu'actuellement,nous en avons 125.000 km et nous avons encore les moyens d'en réaliser davantage", a ajouté M. Ayadi. Il a également affirmé que bien que le facteur principal dans larécurrence des accidents de la route en Algérie reste l'excèsde vitesse, les causes techniques et environnementales en sont aussi des causes.


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