Algérie

De-ci, de-là...



« Si c'est pour anesthésier un peu plus l'économie nationale, ce n'est vraiment pas la peine. À quoi peut bien servir une autre ressource d'argent, si on ne sait qu'en faire. Avec 200 milliards de dollars de réserve issue du pétrole et du gaz conventionnels, on n'arrive toujours pas à assurer la disponibilité de la pomme de terre sur les étals des marchés», nous dit Samia, une étudiante en économie, questionnée sur le sujet. En somme, outre l'aspect du risque environnemental, c'est le manque de projets et de visions, notamment économique, qui semble préoccuper et qui continuera à aggraver le «syndrome hollandais» qui ronge pratiquement tout le secteur économique algérien, selon les échos qui nous parviennent de-ci, de-là. Selon l'ex-ministre de l'Energie, Nordine Aït Laoussine, «il reste beaucoup à faire dans le conventionnel, non seulement sur les zones inexplorées, mais aussi sur les zones déjà en production». L'Algérie n'est donc pas pour l'heure en situation critique en termes énergétiques. Pour le reste, l'économie, c'est une toute autre histoire ...


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)