Sid El-Hadj-bou-Hafs (que par corruption on nomme souvent Sid El-Hadj-Bahout), mourut en 1660 de J.-C. (1070-71 de l’H.), laissant neuf enfants(1), mais tous trop jeunes pour pouvoir lui succéder. Aussi donna-t-il, par testament, ses pouvoirs spirituels et temporels à son frère, quatrième fi ls de Sidi Cheikh, Sid El-Hadj-Abd-el-Hakem.
(1) Parmi lesquels Si Hazeghem, Si Bou-en-Nouar et Si Mohammed, dont les descendants sont établis au Tidikelt, à Feguiguira et au sud d’Insalah.
MARABOUTS ET KHOUANS, ÉTUDE SUR L’ISLAM EN ALGÉRIE. Edition : ALGER, ADOLPHE JOURDAN, LIBRAIRE-ÉDITEUR 1884. par Louis RINN, Chef de bataillon d’infanterie hors cadre.Chef du service central des Affaires indigènes au Gouvernement Géné
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Posté Le : 13/07/2009
Posté par : hichem
Photographié par : Hichem BEKHTI