Algérie

Dans ma tête un rond-point de Hassen Ferhani primé



Dans ma tête un rond-point de Hassen Ferhani primé
Ce premier long métrage de Hassen Ferhani se déroule dans des lieux que les Algérois croient connaître et que le réalisateur invite à redécouvrir tout en s'intéressant aux différents parcours et aspirations d'ouvriers qui vivent sur place.Ce premier long métrage de Hassen Ferhani se déroule dans des lieux que les Algérois croient connaître et que le réalisateur invite à redécouvrir tout en s'intéressant aux différents parcours et aspirations d'ouvriers qui vivent sur place.Le réalisateur algérien, Hassen Ferhani, a décroché lundi le premier prix du 26e Festival international de cinéma de Marseille pour son dernier film Dans ma tête un rondpoint, indiquent les organisateurs sur leur site Internet. Chaque année début juillet, le FIDMarseille, Festival international de cinéma de Marseille, propose un programme de 130 films à près de 23.000 spectateurs, dans des cinémas, théâtres, bibliothèques, galeries d'art, amphithéâtres en plein air, à Marseille.Le festival présente un grand nombre de films en première mondiale, de premiers films, et s'impose aujourd'hui comme un gisement de nouvelles cinématographies, productions documentaires aussi bien que fictions. Pour cette 26e édition, c'est au cinéaste colombien Ricardo Giacconi pour son film Entrelazado Entangled, de décrocher le premier prix de la compétition et au réalisateur algérien, Hassen Ferhani, pour celui de la compétition française, pour son film Dans ma tête un rondpoint. Le jury de la 26e édition du Festival a été, rapportent les médias, "séduit par cette plongée dans les abattoirs d'Alger" les plus vieux abattoirs d'Afrique encore en activité.Ce premier long métrage de Hassen Ferhani se déroule dans des lieux que les Algérois croient connaître et que le réalisateur invite à redécouvrir tout en s'intéressant aux différents parcours et aspirations d'ouvriers qui vivent sur place. D'une durée de 100 minutes, Dans ma tête un rond-point, produit par la cinéaste algérienne Narimane Mari a été présenté en avant-première mondiale à Marseille. Hassen Ferhani avait fait ses premiers pas dans le cinéma en réalisant son premier court métrage en 2006 Les baies d'Alger, qui sera suivi en 2010 par Afric hôtel coréalisé avec Nabil Djedouani.En 2013 il réalise son court métrage Tarzan, Don Quichotte et nous une balade dans des lieux emblématiques de la capitale avec une pointe d'humour qui avait été projeté dans un grand nombre de villes africaines et européennes.Quant au lauréat du prix de la compétition, Entrelazado Entangled, il met en scène un marionnettiste, un médium, un tailleur, et une scientifique à Cali en Colombie pour s'intéresser aux liens invisibles qui peuvent relier des personnes sans contacts apparents. "Une leçon de cinéma, élégante et plein de possibilités, laissant une grande part à la complexité", a salué la présidente du jury, Rasha Salti, cinéaste libanaise. Une mention spéciale a aussi été attribuée au britannique Andrew Kötting pour son film By Our Selves.A noter que pour sa 5e édition, le prix Renaud-Victor, décerné par une vingtaine de détenus des Baumettes, a été remis au cinéaste argentin Daniel Rosenfeld pour son film Al centro de la tierra to the center of the earth. Karim, prisonnier à la maison d'arrêt de Marseille, sorti exceptionnellement pour la soirée de remise des prix lundi, a tenu à "saluer le FID pour avoir donné (aux détenus jurés) l'occasion de s'évader de l'univers carcéral durant une semaine".Cette année, c'était aussi la grande première du prix décerné par des lycéens. Ils ont salué le travail de Nicolas Boone pour son documentaire Psaume, qui a également obtenu le prix du Centre national des arts plastiques. Dix autres longs métrages, signés par des réalisateurs venus des Etats-Unis, d'Allemagne, de Syrie, du Liban ou d'Argentine ont été primés.Le réalisateur algérien, Hassen Ferhani, a décroché lundi le premier prix du 26e Festival international de cinéma de Marseille pour son dernier film Dans ma tête un rondpoint, indiquent les organisateurs sur leur site Internet. Chaque année début juillet, le FIDMarseille, Festival international de cinéma de Marseille, propose un programme de 130 films à près de 23.000 spectateurs, dans des cinémas, théâtres, bibliothèques, galeries d'art, amphithéâtres en plein air, à Marseille.Le festival présente un grand nombre de films en première mondiale, de premiers films, et s'impose aujourd'hui comme un gisement de nouvelles cinématographies, productions documentaires aussi bien que fictions. Pour cette 26e édition, c'est au cinéaste colombien Ricardo Giacconi pour son film Entrelazado Entangled, de décrocher le premier prix de la compétition et au réalisateur algérien, Hassen Ferhani, pour celui de la compétition française, pour son film Dans ma tête un rondpoint. Le jury de la 26e édition du Festival a été, rapportent les médias, "séduit par cette plongée dans les abattoirs d'Alger" les plus vieux abattoirs d'Afrique encore en activité.Ce premier long métrage de Hassen Ferhani se déroule dans des lieux que les Algérois croient connaître et que le réalisateur invite à redécouvrir tout en s'intéressant aux différents parcours et aspirations d'ouvriers qui vivent sur place. D'une durée de 100 minutes, Dans ma tête un rond-point, produit par la cinéaste algérienne Narimane Mari a été présenté en avant-première mondiale à Marseille. Hassen Ferhani avait fait ses premiers pas dans le cinéma en réalisant son premier court métrage en 2006 Les baies d'Alger, qui sera suivi en 2010 par Afric hôtel coréalisé avec Nabil Djedouani.En 2013 il réalise son court métrage Tarzan, Don Quichotte et nous une balade dans des lieux emblématiques de la capitale avec une pointe d'humour qui avait été projeté dans un grand nombre de villes africaines et européennes.Quant au lauréat du prix de la compétition, Entrelazado Entangled, il met en scène un marionnettiste, un médium, un tailleur, et une scientifique à Cali en Colombie pour s'intéresser aux liens invisibles qui peuvent relier des personnes sans contacts apparents. "Une leçon de cinéma, élégante et plein de possibilités, laissant une grande part à la complexité", a salué la présidente du jury, Rasha Salti, cinéaste libanaise. Une mention spéciale a aussi été attribuée au britannique Andrew Kötting pour son film By Our Selves.A noter que pour sa 5e édition, le prix Renaud-Victor, décerné par une vingtaine de détenus des Baumettes, a été remis au cinéaste argentin Daniel Rosenfeld pour son film Al centro de la tierra to the center of the earth. Karim, prisonnier à la maison d'arrêt de Marseille, sorti exceptionnellement pour la soirée de remise des prix lundi, a tenu à "saluer le FID pour avoir donné (aux détenus jurés) l'occasion de s'évader de l'univers carcéral durant une semaine".Cette année, c'était aussi la grande première du prix décerné par des lycéens. Ils ont salué le travail de Nicolas Boone pour son documentaire Psaume, qui a également obtenu le prix du Centre national des arts plastiques. Dix autres longs métrages, signés par des réalisateurs venus des Etats-Unis, d'Allemagne, de Syrie, du Liban ou d'Argentine ont été primés.




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