D'une crise à l'autre, le monde semble se diriger vers un chaos généralisé. Si les pays arabes sont en proie à une reconfiguration géopolitique prédéfinie, il n'en demeure pas moins que l'Occident prédateur risque également de subir l'effet boomerang.
Et pourtant, les indices de ces éventuelles répercussions ne manquent pas. Aux Etats-Unis, le mouvement «Occupy Wall Street» va bientôt se transformer en «Occupy nationale», ce qui risque de perturber la sieste de Barack Obama à quelques mois des présidentielles. Au Canada, en Espagne, en Grande-Bretagne, etc., les mécontentements se succèdent en attendant de nouveaux lendemains dus en grande partie à la crise qui secoue la zone euro. Récemment, semble-t-il, un compromis a été trouvé en vue d'une sortie de crise... Qui vivra verra. Et pourtant, si l'on fouine un peu dans les «bas-fonds» de cette crise, on s'aperçoit qu'elle n'est pas fortuite, mais organisée à l'instar de ces soi-disant «révolutions» arabes. C'est un ramassis de gangsters qui a enfermé ces pays dans un véritable goulag monétaire, économique et financier. Les populations de ces pays travaillent sans relâche à l'alimentation d'une pompe à finance au débit de plus en plus important, en l'occurrence les «suceurs de sang» qui fonctionnent comme un «syndicat du crime», organisé en «cartel de banques» ! Le vrai drame est que les plus serviles «collabos» de ce cartel sont les vénaux hommes politiques et grands commis de l'Etat. Le vrai problème qui empoisonne l'existence des peuples est donc cette terrible guerre de soumission que ce ramassis de gangsters, organisé en «cartel de banques», livre aux populations du monde, avec la collaboration servile de ses amis milliardaires, de ses politiciens, de ses médias, de l'ONU, de l'OMC, de l'OMS, de l'Otan, du FMI, de la Banque mondiale, de la Commission européenne, etc. Un jeu de coulisses qui pourrait notamment faire l'objet de recherches sur les dessous de ce nouveau désordre mondial. Ce nouveau désordre qui détruit l'humanité, son économie, ses entreprises, ses emplois, et si ce n'est pas le crime légalisé des récalcitrants dans certains pays, dans d'autres, c'est l'explosion des prix de l'énergie, des matières premières et des produits de première nécessité... Depuis 150 ans, les mêmes prédateurs ont fabriqué tous les prétextes pour démarrer toutes les guerres... Le 11 Septembre n'échappe pas à la règle. Dans ce contexte, certaines investigations ont démonté la «version officielle» (qui d'ailleurs n'existe pas) et démontré que le 11 septembre 2001 n'est qu'une énième «opération psychologique», organisée «de l'intérieur», pour le compte des prédateurs qui ravagent le monde. D'une crise à l'autre, le dénominateur commun est que ces mêmes prédateurs, qu'ils soient manipulateurs de fonds ou d'armes, sont en train de semer un désordre mondial dont les répercussions risquent de dépasser leurs prévisions.
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Posté Le : 01/07/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : C A
Source : www.lnr-dz.com