Algérie

D'abord l'élimination de la faim


Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a affirmé mardi que l'Afrique subsaharienne ne pourrait pas maintenir sa reprise économique actuelle si elle n'élimine pas la faim qui touche près de 25% de sa population.
Pour l'administrateur du PNUD, Helen Clark, "la croissance économique ne suffit pas à elle seule pour mettre un terme à la faim. Au-delà de la croissance, nous devons nous focaliser sur les approches de la sécurité alimentaire axées sur la population".
Dans son rapport sur ''la sécurité alimentaire durable en Afrique'', le PNUD affirme qu'il est impossible d'espérer s'affranchir de l'insécurité alimentaire par un effort exclusivement centré sur l'agriculture.
En conséquence, il appelle à convenir d'une nouvelle approche couvrant de multiples secteurs, allant de l'infrastructure rurale aux services de santé, englobant de nouvelles formes de protection sociale et permettant d'aboutir à l'autonomisation des communautés locales.
Pour le PNUD, le rythme rapide du changement et la nouvelle vitalité économique du continent sont autant de circonstances particulièrement opportunes pour agir. Selon le directeur du bureau régional pour l'Afrique du PNUD, Tegegnework Gettu, "il est paradoxal que dans un monde d'excédents alimentaires, la faim et la malnutrition soient aussi omniprésentes sur un continent aux richesses agricoles si étendues".
Une autre contradiction frappante résulte de ce que les taux élevés de la croissance économique en Afrique subsaharienne au cours des dernières années, dont la progression a été parmi les plus rapides au monde, conjugués à l'augmentation de l'espérance de vie et de la scolarisation n'ont pas conduit à des améliorations dans la même proportion en matière de sécurité alimentaire.
Avec plus d'un quart de ses 856 millions d'habitants souffrant de malnutrition, l'Afrique subsaharienne reste la région du monde la plus touchée par l'insécurité alimentaire.
Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a affirmé mardi que l'Afrique subsaharienne ne pourrait pas maintenir sa reprise économique actuelle si elle n'élimine pas la faim qui touche près de 25% de sa population.
Pour l'administrateur du PNUD, Helen Clark, "la croissance économique ne suffit pas à elle seule pour mettre un terme à la faim. Au-delà de la croissance, nous devons nous focaliser sur les approches de la sécurité alimentaire axées sur la population".
Dans son rapport sur ''la sécurité alimentaire durable en Afrique'', le PNUD affirme qu'il est impossible d'espérer s'affranchir de l'insécurité alimentaire par un effort exclusivement centré sur l'agriculture.
En conséquence, il appelle à convenir d'une nouvelle approche couvrant de multiples secteurs, allant de l'infrastructure rurale aux services de santé, englobant de nouvelles formes de protection sociale et permettant d'aboutir à l'autonomisation des communautés locales.
Pour le PNUD, le rythme rapide du changement et la nouvelle vitalité économique du continent sont autant de circonstances particulièrement opportunes pour agir. Selon le directeur du bureau régional pour l'Afrique du PNUD, Tegegnework Gettu, "il est paradoxal que dans un monde d'excédents alimentaires, la faim et la malnutrition soient aussi omniprésentes sur un continent aux richesses agricoles si étendues".
Une autre contradiction frappante résulte de ce que les taux élevés de la croissance économique en Afrique subsaharienne au cours des dernières années, dont la progression a été parmi les plus rapides au monde, conjugués à l'augmentation de l'espérance de vie et de la scolarisation n'ont pas conduit à des améliorations dans la même proportion en matière de sécurité alimentaire.
Avec plus d'un quart de ses 856 millions d'habitants souffrant de malnutrition, l'Afrique subsaharienne reste la région du monde la plus touchée par l'insécurité alimentaire.


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