Algérie

CSC : Roger Lemerre au centre des préoccupations



CSC : Roger Lemerre au centre des préoccupations
Il s'est renseigné auprès de Bracci Le grain de sable, c'est l'avance sur salaire
Décidément, il n'est pas aisé de s'attacher les services d'un entraîneur de la trempe de Roger Lemerre. Pas moins d'un mois de négociations et encore rien à l'horizon. Si de son côté, Lemerre maintient ses dires en avançant seulement que le contrat n'est pas encore signé, du côté de l'administration Boulhabib, on a souvent indiqué que tout était OK. Devant les questionnements de la masse sportive clubiste, surtout après le départ précipité de Lemerre chez lui, à deux jours de l'entame du second stage, la position des dirigeants clubistes méritait d'être éclaircie, mais rien n'a vu le jour. De sources proches des deux dirigeants actifs, en l'occurrence Boulhabib et Ferssadou, on croit savoir que le contact est maintenu et que le manager chargé du suivi de ce dossier serait sur le point de concrétiser cette venue. On parle avec insistance de la présence en Tunisie de Roger Lemerre et de sa prise de fonctions effective.
Il s'est renseigné auprès de Bracci
Après le contact établi par les dirigeants clubistes avec Lemerre, ce dernier s'était rapproché de François Bracci pour avoir les renseignements voulus, sachant que le Marseillais avait déjà pris les rênes du CS Constantine. Les deux hommes ont fait le point, mais malheureusement on ignore le fond des discussions et surtout l'avis de Bracci. Il faut dire que ce dernier n'a jamais caché sa satisfaction d'avoir été le coach de Sanafir bien qu'il ait été remercié de manière peu chevaleresque à l'époque. A-t-il tenu rancune '
Le grain de sable, c'est l'avance sur salaire
Pour que Lemerre puisse encore hésiter pour signer son contrat, il devrait y avoir un motif et un sérieux. Des proches de l'administration du club affirment avec véhémence que le problème serait relatif au nombre de mois de salaire à avancer. Lemerre aurait exigé six mois, alors que le club proposait beaucoup moins. Pour garder son coach Bouhabib se doit de casser, à nouveau, sa tirelire. En demandant six mois de salaire, le futur coach clubiste semble être au courant des pratiques qui se passent dans nos clubs algériens. Et pour éviter toute mauvaise surprise, il a fixé comme condition ce volet. Aux dernières nouvelles, le président du conseil d'administration Ferssadou avait déclaré que tout est rentré dans l'ordre pour une prise de fonctions rapide de l'entraîneur.
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De retour à Hammam Bourguiba
C'est aujourd'hui, en début de soirée, que les camarades de Naït Yahia devraient prendre le chemin de Hammam Bourguiba pour l'entame du second stage de préparation. Un stage qui, selon le staff technique et membre administration, pourrait voir le plus gros du programme centré sur la mise sur pied de rencontres amicales. Or, dans son intervention au forum l'index, El Mouachar, Boulhabib avait développé l'idée de ne pas se préparer à Hammam Bourguiba, du fait de l'absence de terrains en soirée particulièrement. Volte-face et départ sur le même lieu. L'encadrement technique serait reconduit en attendant la désignation officielle du coach.
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Bouamria veut partir
Le défenseur Bouamria, transfuge de l'ASM Oran, lequel a pris part au stage de Hammam Bourguiba, a dû réviser sa position pour jeter l'éponge et rallier un autre club qui pourrait mieux lui convenir. En tout état de cause Bouamria s'est senti déjà lésé par les choix de Bounaas, lequel, pour lui, favoriserait les noms. Profitant du repos accordé aux joueurs avant l'entame du second stage, Bouamria s'est rapproché d'El Harrach, une formation qui lui a ouvert les portes. Le président harrachi, Laïb, s'est engagé pour trouver solution avec Boulhabib. Un départ précipité qui sous-entend, peut-être, des tensions après la mise à l'écart des éléments non expérimentés. A méditer.
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Un point sur Cheraïtia
L'attaquant Cheraïtia, qui a rejoint les rangs clubiste à temps pour entamer sa préparation en Tunisie, a dû revoir sa copie avec la position de son club le Mouloudia de Saïda qui ne lui a pas remis sa lettre de libération. Devant la fermeté affichée par les dirigeants Saïdis, Cheraïtia se trouve dans une situation où il doit abandonner l'idée de rallier le CS Constantine. Ce qui obligerait Boulhabib de chercher une compensation aux départs de Bouamria et Cheraïtia.


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