Algérie

Crise chez le Doyen


Crise chez le Doyen
Alors que la plupart des clubs de Ligue 1 s'apprêtent à clôturer leur marché des transferts et s'attaquer par la suite aux stages d'intersaison, au Mouloudia d'Alger, ce sont les noms d'investisseurs qui dominent l'actualité depuis des mois.
Alors que la plupart des clubs de Ligue 1 s'apprêtent à clôturer leur marché des transferts et s'attaquer par la suite aux stages d'intersaison, au Mouloudia d'Alger, ce sont les noms d'investisseurs qui dominent l'actualité depuis des mois.
Il y a urgence. Urgence de trouver une issue à la crise que vit en ces moments le Doyen du football algérien. La saison est achevée. Le temps presse. La tension monte chaque jour un peu plus dans l'entourage de cette formation. Après le désistement d'Eddir Loungar, qui était, pourtant en négociations très avancées pour le rachat du club, Ryad Djafar Mellah qui a tenté sa chance, s'est retiré vite après les graves menaces de certaines personnes. Le ton se durcit du côté des fans. Depuis plusieurs jours, les supporters de cette vieille formation algéroise tentent d'organiser des marches un peu partout dans la capitale, histoire d'exprimer leur ras-le-bol. Plusieurs autres noms d'investisseurs ont été cités à l'image des Qataris et des Espagnols voir même des Algériens, mais cela n'a abouti à rien. Le bal a commencé, signalons-le, au début de la saison écoulée, avec la première arrivée, en l'occurrence Pellicano. Les pourparlers qui ont duré presque trois mois n'ont rien apporté. Accueilli comme héros à Alger, cet homme s'est avéré incapable de poursuivre sa politique. Jusque-là, rien de concret à signaler. Avec l'arrivée du Franco-Algérien Eddir Loungar, les supporters retrouvent de nouveau espoir, mais cela n'a duré que quelques temps puisque l'investisseur a plié bagages après avoir perdu tout espoir d'un éventuel consensus avec les dirigeants actuels. Cet homme qui avait exigé un bilan certifié, a proposé un investissement de 12 milliards. Mais tout est tombé à l'eau quand Loungar a indiqué qu'il ne rembourserait que les créances justifiées par une reconnaissance de dette. C'est là où réside le vrai problème du MC Alger. Omar Ghrib ne l'entend pas de cette oreille car il exige qu'on lui rembourse d'abord l'argent qu'il aurait «payé» de sa poche dont il ne possède pas de justificatifs. Pour lui, le montant atteint les 7 milliards. Celui donc qui veut prendre le club doit d'abord mettre cette somme dans ses poches. Ce nouveau refus vient de prouver qu'il n'y a aucune volonté réelle des pensionnaires de cette formation de conclure l'affaire. Une situation qui replongera de nouveau les joueurs ainsi que leurs supporters dans leurs incertitudes.
Il y a urgence. Urgence de trouver une issue à la crise que vit en ces moments le Doyen du football algérien. La saison est achevée. Le temps presse. La tension monte chaque jour un peu plus dans l'entourage de cette formation. Après le désistement d'Eddir Loungar, qui était, pourtant en négociations très avancées pour le rachat du club, Ryad Djafar Mellah qui a tenté sa chance, s'est retiré vite après les graves menaces de certaines personnes. Le ton se durcit du côté des fans. Depuis plusieurs jours, les supporters de cette vieille formation algéroise tentent d'organiser des marches un peu partout dans la capitale, histoire d'exprimer leur ras-le-bol. Plusieurs autres noms d'investisseurs ont été cités à l'image des Qataris et des Espagnols voir même des Algériens, mais cela n'a abouti à rien. Le bal a commencé, signalons-le, au début de la saison écoulée, avec la première arrivée, en l'occurrence Pellicano. Les pourparlers qui ont duré presque trois mois n'ont rien apporté. Accueilli comme héros à Alger, cet homme s'est avéré incapable de poursuivre sa politique. Jusque-là, rien de concret à signaler. Avec l'arrivée du Franco-Algérien Eddir Loungar, les supporters retrouvent de nouveau espoir, mais cela n'a duré que quelques temps puisque l'investisseur a plié bagages après avoir perdu tout espoir d'un éventuel consensus avec les dirigeants actuels. Cet homme qui avait exigé un bilan certifié, a proposé un investissement de 12 milliards. Mais tout est tombé à l'eau quand Loungar a indiqué qu'il ne rembourserait que les créances justifiées par une reconnaissance de dette. C'est là où réside le vrai problème du MC Alger. Omar Ghrib ne l'entend pas de cette oreille car il exige qu'on lui rembourse d'abord l'argent qu'il aurait «payé» de sa poche dont il ne possède pas de justificatifs. Pour lui, le montant atteint les 7 milliards. Celui donc qui veut prendre le club doit d'abord mettre cette somme dans ses poches. Ce nouveau refus vient de prouver qu'il n'y a aucune volonté réelle des pensionnaires de cette formation de conclure l'affaire. Une situation qui replongera de nouveau les joueurs ainsi que leurs supporters dans leurs incertitudes.


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