On ne recourt à un crédit en général qu'en cas de nécessité. Et quand celui-ci est obtenu, le soulagement est grand de pouvoir régler des problèmes parfois assez urgents. Mais à l'enthousiasme succède vite l'angoisse du remboursement et des échéanciers impitoyables.Le prêt bancaire facilite, certes, l'accès à des biens divers, mais une fois «contracté», le simple fonctionnaire se retrouve face à des situations des plus inextricables. Les travailleurs dans des entreprises privées où la stabilité de l'emploi n'est nullement garantie, constituent les principales victimes d'éventuels revirements de situation. D'où cette appréhension à opter pour cette formule. Plusieurs citoyens ont confié à InfoSoir, qu'ils voudraient bien contracter des crédits bancaires, mais qu'ils n'en ont pas le courage par crainte de perdre leur emploi et, par conséquent, de se retrouver incapables d'honorer leurs engagements.
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Posté Le : 20/01/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A H
Source : www.infosoir.com