CRB : Plus de 7 milliards pour qualifier les nouvelles recrues

Si Menkoura, Thiam et Attia n'ont pas été qualifiés suite à un envoi tardif des pièces justificatives liées aux contrats des joueurs, le Chabab de Belouizdad risque de ne pas bénéficier de toutes ses nouvelles recrues, et ce en raison des dettes accumulées au niveau de la Chambre de résolution des litiges. Des dettes qui s'élèverait à plus de 12 milliards de centimes selon Abdelkrim Medouar, le président de la Ligue de football professionnel qui a été catégorique quant à la position de l'instance qu'il dirige par rapport aux clubs endettés. Le CRB avait jusqu'à hier soir pour régler ses dettes et les porter au minimum à moins de cinq milliards de centimes. Les Belouizdadis, qui n'ont récupéré les 2,5 milliards de droit TV relatifs à la saison dernière, n'avaient donc qu'à payer 5 milliards pour pouvoir compter sur Balegh et les autres. Jusqu'à hier en début de soirée, Bouhafs n'avait toujours rien entrepris auprès de la LFP. Peut-être qu'il préfère se cacher derrière le nom du grand Chabab pour exercer une pression sur Medouar.Thiam, Attia et Menkoura non qualifiés
Coup de tonnerre à Belouizdad, les dossiers de trois joueurs recrutés lors des dernières heures du mercato n'ont pas été acceptés par la Ligue pour envoi tardif des pièces justificatives des contrats. C'est ce que nous avons appris d'une source proche de la direction belouizdadie. Ainsi, Menkoura, Attia et Thiam ne pourraient probablement pas défendre les couleurs du Chabab cette saison, ou du moins jusqu'au prochain mercato hivernal.
Kebbal sacrifié
Annoncé comme nouvelle recrue, après plusieurs jours de négociations, et présenté sur la page Facebook officielle du club, Abdelaziz Kebbal a été finalement sacrifié par la direction belouizdadie, notamment suite au recrutement du guinéen Thiam dans les dernières heures du mercato. Une décision qui a surpris tout le monde, notamment les supporters qui ne comprennent plus rien à ce qui se trame à la tête du Chabab de Belouizdad. Même les joueurs d'ailleurs.