CR Témouchent - Djeriou Mohamed (Milieu offensif)

«J’espère faire une grande carrière» Le jeune Djeriou Mohamed, produit de l’école de football d’Aïn Témouchent dispose de qualités techniques appréciables qui le promettent à un bel avenir à condition de travailler davantage. Il se confie au journal. Suivons-le. - Tout d’abord, présentez-vous aux lecteurs ? - Djeriou Mohamed, né le 09 février 1986 à Aïn Témouchent. J’ai, toujours, été fasciné par le football et ce, dès mon jeune âge. J’ai débuté dans la catégorie des benjamins durant la saison sportive 1996/1997 et j’ai fait toutes mes classes au sein du CR Témouchent. - Donc tu as dû connaître plusieurs entraîneurs ? - Tout à fait. Je peux en citer quelques-uns, MM. Loukili, Hamouda, Bensahih, Lechleche mais surtout Hadjar, Bouterfès et le regretté Dahou Abdelkader qui m’ont énormément aidé à progresser et à aimer davantage le football. - Quel est ton poste préféré ? - Je m’exprime bien au milieu du terrain, c’est-à-dire les postes 8 et 10 qui me conviennent le mieux d’autant plus que je suis de bonne constitution physique et avec un large champ de vision. -As-tu eu l’occasion de jouer en senior ? - Oui, en deuxième année junior. Les entraîneurs, Hadjar et Mehadji, m’ont intégré, à plusieurs reprises, où il me semble avoir donné satisfaction et je n’ai pas encore choisi ma future destination pour la nouvelle saison. - Pensez-vous faire carrière dans le foot ? - Sincèrement, j’espère faire une grande carrière car je travaille dur pour arriver, un jour, dans une grande équipe qui m’ouvrirait les portes de l’équipe nationale. - Quels sont vos joueurs préférés au niveau national et international ? - Au niveau national, plusieurs joueurs méritent d’être cités et particulièrement, Madjer, Bensaoula et Belloumi qui étaient dotés d’une classe inégalable. Au niveau international, sans aucun doute, Zineddine Zidane. - Le mot de la fin ? - Je souhaite que le football national retrouve sa place d’antan et que le CRT joue les premiers rôles en championnat. Enfin, je tiens à remercier toute l’équipe de «La Voix de l’Oranie» qui m’a permis de m’exprimer pour la première fois