CR Témouchent 1 - HB El-Bordj 1

Tel est pris celui qui croyait prendre ! Stade «Embarek Boucif», beau temps, terrain en bon état, service d’ordre présent, affluence moyenne, arbitrage discutable de Abdellah, assisté de Benchaïa et Bouhassoune Avertissements : Benzeram, Daoud 1, HBEB, Aït Hamlat CRT Buts : Salem : 37’ (CRT) - Khiter 55’ (HBEB) CRT : Mehadji, Ould Lakhdar, Rezigui (Belhadji), Fakir, Zénagui, Mokdad, Aït, Hamlat, Riraïne (Makhlouf), Ziani, Salem, Maghni-Sandid Entraîneur : Cheïkho HBEB : Hellal, Djalti, Benzeram, Mahmoudi 1, Beyar, Khiter, Mahmoudi 2, Hamrouche (Benyamina), Dendan, Daoud 1, Saïdi (Daoud 2) Entraîneur : Bekhaled Les Témouchentis ont été décevants à plus d’un titre devant un adversaire qui était largement à leur portée, surtout en première mi-temps dominée des pieds et des épaules, et jouée dans le camp bordji. Au registre comptable de ce premier half, ce n’est pas moins de sept franches occasions qui pouvaient être transformées en but. Cependant, l’excès de précipitation des Ziani, Mokdad, Riraïne et Salem était suffisant pour faire le bonheur d’une défense d’El-Bordj qui prenait eau de toutes parts.Mais à la 37’, Salem profitera d’un cafouillage pour inscrire le but en se reprenant à deux reprises dont la première sur un retourné. Du côté d’El-Bordj, et dans tout cela, il n’eut pas une seule occasion tant le mot d’ordre était de défendre. La seule opportunité des visiteurs se produira à la 55’ sous la forme d’un coup franc botté par Mahmoudi 2 qui trouvera la tête de Khiter. Ce dernier sera à la conclusion de l’égalisation... à la surprise générale. Ensuite, ni Maghni-Sandid à la 63’, ni Riraïne à la 65’, ni Ziani «carbonisé « et ni Ould Lakhdar, trop «amoureux» du ballon, ne purent renverser la vapeur. Au contraire, cela aurait pu être plus catastrophique pour le Chabab, si, à la 68’, Daoud 1 avait conclu son échappée. L’échappatoire d’un arbitrage tatillon ne peut constituer un argument de cette contre-performance du Chabab dont ses joueurs doivent comprendre qu’ils ont encore du pain sur la planche. Sabri Nadjib