A l'argumentaire avancé par la ministre déléguée à la Réforme financière pour justifier «la suspension» du processus de privatisation du CPA, les banquiers en donnent un autre, celui rappelant «l'existence de rapports de force au sein des centres décisionnels qui obligent à gérer en premier des intérêts personnels».
Posté Le : 27/11/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Ghania Oukazi
Source : www.lequotidien-oran.com