Au jour d'aujourd'hui, on ne sait pas quand sonnera la fin de cette pièce macabre qui a pour nom le Covid-19. Personnellement, je ne vais plus au théâtre parce que tout simplement ça ne m'amuse plus, ça ne me cultive plus. D'ailleurs avec le confinement, pas question d'aller en soirée un après-midi alors que le soleil est au firmament. Je me désole parce que l'on joue un drame si fort qu'il a déjà fait pleurer des femmes et hommes par millions. Le virus, de sinistre réputation, ne met pas en scène uniquement les adultes. On a vu des jeunes et des plus jeunes ne pas résister à son attaque foudroyante.Autre énigme : nombre de victimes succomberont au vaccin. D'où toutes les supputations imaginables. Avant que les choses ne prennent une tournure dramatique, je me cherchais des excuses, j'étais tout heureux de trouver un bouc émissaire car on était en plein hiver : revoilà la maudite grippe espagnole qui fait encore des siennes. Pour me rassurer, je me dis que ça passera dès l'été. Mais il n'en fut rien. J'ai poussé le zèle jusqu'à passer de longues heures en débats contradictoires aussi bien avec ceux qui croient au Covid-19 qu'avec les autres, c'est-à-dire ceux qui nient son existence, les «complotistes» dont des youtubeurs, en mal de «buzz», qui vont se retrouver face à la Faucheuse. Nous sommes déjà au quatrième acte de la pièce et l'on ne devine pas encore le dénuement. Trop fort Shakespeare !
L'on a accusé le singe d'Afrique pour le Sida et l'on continue dans cette funeste logique, le Covid-19 viendrait de la chauve-souris, mets très apprécié dans certaines contrées, au demeurant. Si ce n'est ce volatile nocturne, c'est sûrement un autre animal. «Si ce n'est pas toi, c'est donc ton frère» (Le loup et l'agneau, fable de La Fontaine). Il n'est pas question d'un virus fabriqué en laboratoire et de surcroît à bon escient. Nous serions trop nombreux sur cette vieille planète terre. Un laboratoire chinois de Wuhan est jeté en pâture mais cela ne calme pas pour autant mon tumulte intérieur devant tant de décès quotidiens d'amis proches, amoureux de la vie. A-t-on, accidentellement, créé le virus-Frankenstein ' C'est la course aux vaccins censés sauver des vies humaines ou alors...
La guerre des labos est ouverte sous la forme des rivalités meurtrières au grand jour, allant jusqu'aux assassinats. Des scientifiques de renom en payeront les frais. Ce terrible constat est fait par le journaliste d'investigation Philipe Aimar, dans son livre (268 pages) : Covid-19-Enquête sur un virus - Manipulations, vols, meurtres, influences et guerres médiatiques. C'est glaçant vu les révélations. Ainsi, en 2019 et 2020, un paquet de savants et de chercheurs, toutes nationalités confondues, passent de vie à trépas des suites d'une crise cardiaque, bien qu'en pleine santé, ou suicidés (officiellement). Le bal est ouvert, une gigantesque opération mettra au pas les médias pour faire accroire à une pandémie mondiale du coronavirus. Pour laisser place aux vaccins, la chloroquine est tout simplement interdite par ceux qui tirent les ficelles. Parmi les têtes pensantes, l'on retrouve bizarrement un «famous» multimilliardaire en la personne de Bill Gates. Dans cette atmosphère de film de série noire, une vidéo virale fait le «buzz» sur les réseaux sociaux : le Covid-19 serait une création de laboratoire. Son auteur (qui dit qu'il se cache), Jean-Bernard Fourtillan, un Français. Chut, les murs ont des oreilles !
Brahim Taouchichet
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Posté Le : 07/08/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Brahim Taouchichet
Source : www.lesoirdalgerie.com