Algérie

Cour de Constantine : Drôle de communication



Hier, nous voulions prendre attache avec le procureur général près la cour de Constantine pour obtenir des renseignements sur une affaire judiciaire dont nous avons eu quelques échos, précisément pour confirmer ou infirmer certaines informations. Le secrétaire du procureur général, qui nous a prié, sur demande de son responsable hiérarchique, selon les propos du planton, de préciser de quelle affaire il s'agissait, nous a affirmé mordicus qu'il ne pourrait pas nous recevoir si nous n'avions pas plus de données (autant dire toutes les informations) sur cette affaire. Notre interlocuteur nous dira : « Le procureur général n'est pas au courant de l'affaire. Ramenez plus de détails et vous serez certainement reçu par mon responsable ». Ainsi en est-il de la bonne relation entre les institutions judiciaires et la presse à Constantine. Désormais il faut être au courant d'une affaire, la communiquer à la justice, pour qu'on vous y reçoive et vous donne ' quoi '


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