Algérie

Coup d'envoi d'un film en tamazight


La production cinématographique amazighe sera bientôt enrichie d'un long métrage du cinéaste Hammar Mokrane, dont le premier coup de manivelle a été inauguré la semaine dernière, au village Aït Houari, par le maire de la commune d'Assi Youcef. Akelwach Nath Lakharth ou le bouc émissaire dans sa traduction française est le titre du film, c' est une fiction d'horreur, un thème qui est, selon Laceb Djamel, le scénariste du film, « une nouveauté dans la filmographie amazighe ». L'histoire se déroule dans un village kabyle où plusieurs assassinats sont commis, défrayant la chronique.Qui tue ' Et pourquoi ' L'enquête policière piétine. Le seul indice commun à tous ces cadavres-il y en a trois- est qu'ils sont tous retrouvés avec des poils de bouc sur le front. L'on finit, après nombre d'intrigues, par découvrir qu'il s'agit d'une vengeance orchestrée par le personnage principal du film, souffrant d'un dédoublement de personnalité : victime d'un kidnapping-thème hélas d'actualité-durant son enfance, il se venge, en fait, de ses anciens ravisseurs, l'un après l'autre.
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