Algérie

Copé élu de justesse France, présidence de l'UMP



Copé élu de justesse                                    France, présidence de l'UMP
Jean-François Copé a été proclamé, lundi soir, président de l'UMP aux dépens de François Fillon, battu de 98 voix, et a invité l'ancien Premier ministre à le "rejoindre" au terme de 24 heures de contestation et de confusion qui ont mis à mal la famille gaulliste.
François Fillon, que les sondages donnaient vainqueur de ce scrutin interne sans précédent, a déclaré prendre acte d'un résultat dont "il ne se satisfait pas" mais a annoncé qu'il n'opposerait pas de recours malgré "de nombreuses irrégularités".
Les deux camps s'accusaient mutuellement de fraude, mais la Commission d'organisation et de contrôle des opérations électorales (Cocoe) de l'UMP a décidé de valider les votes en l'état.
Loin de saisir la main tendue de Jean-François Copé qui, à 48 ans, signe un succès politique de bon augure pour ses ambitions élyséennes, François Fillon a dénoncé avec force la ligne idéologique de son adversaire, qu'il n'a pas cité, en déplorant "une fracture politique et morale" à l'UMP.
Dans une brève déclaration sibylline sur ses intentions futures, le député de Paris a affirmé qu'il entendait "réduire et dépasser cette fracture, et ferait connaître dans les jours qui viennent la forme de son engagement politique pour l'avenir."
"Au-delà des nombreuses irrégularités de ce scrutin que j'aurais pu contester, ce qui me frappe surtout ce soir, c'est que la fracture qui traverse notre camp politique est désormais manifeste", a-t-il déclaré. "La réduire et la dépasser, tel est l'objectif que je m'assigne".
Cette défaite est un revers cuisant pour François Fillon qui, à 58 ans, ambitionnait d'incarner la reconquête à l'élection présidentielle de 2017 à la suite de Nicolas Sarkozy.
"C'est une grande victoire pour nous, c'est un grave échec pour lui", déclarait-on lundi soir dans l'entourage de Jean-François Copé.
Selon le président de la Cocoe, Patrice Gélard, le secrétaire général sortant de l'UMP a recueilli 87.388 voix, soit 50,03%, contre 87.290 voix pour l'ancien Premier ministre..
Sur 176.608 votants, la commission a décompté 174.678 suffrages exprimés.
Jean-François Copé a été proclamé, lundi soir, président de l'UMP aux dépens de François Fillon, battu de 98 voix, et a invité l'ancien Premier ministre à le "rejoindre" au terme de 24 heures de contestation et de confusion qui ont mis à mal la famille gaulliste.
François Fillon, que les sondages donnaient vainqueur de ce scrutin interne sans précédent, a déclaré prendre acte d'un résultat dont "il ne se satisfait pas" mais a annoncé qu'il n'opposerait pas de recours malgré "de nombreuses irrégularités".
Les deux camps s'accusaient mutuellement de fraude, mais la Commission d'organisation et de contrôle des opérations électorales (Cocoe) de l'UMP a décidé de valider les votes en l'état.
Loin de saisir la main tendue de Jean-François Copé qui, à 48 ans, signe un succès politique de bon augure pour ses ambitions élyséennes, François Fillon a dénoncé avec force la ligne idéologique de son adversaire, qu'il n'a pas cité, en déplorant "une fracture politique et morale" à l'UMP.
Dans une brève déclaration sibylline sur ses intentions futures, le député de Paris a affirmé qu'il entendait "réduire et dépasser cette fracture, et ferait connaître dans les jours qui viennent la forme de son engagement politique pour l'avenir."
"Au-delà des nombreuses irrégularités de ce scrutin que j'aurais pu contester, ce qui me frappe surtout ce soir, c'est que la fracture qui traverse notre camp politique est désormais manifeste", a-t-il déclaré. "La réduire et la dépasser, tel est l'objectif que je m'assigne".
Cette défaite est un revers cuisant pour François Fillon qui, à 58 ans, ambitionnait d'incarner la reconquête à l'élection présidentielle de 2017 à la suite de Nicolas Sarkozy.
"C'est une grande victoire pour nous, c'est un grave échec pour lui", déclarait-on lundi soir dans l'entourage de Jean-François Copé.
Selon le président de la Cocoe, Patrice Gélard, le secrétaire général sortant de l'UMP a recueilli 87.388 voix, soit 50,03%, contre 87.290 voix pour l'ancien Premier ministre..
Sur 176.608 votants, la commission a décompté 174.678 suffrages exprimés.


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