Les contraintes auxquelles fait face cette polyclinique, se résument essentiellement à l'étroitesse de la structure érigée en R+3 et qui ne peut, en aucun cas, recevoir des travaux d'extension.Elle ne dispose que d'un seul bloc opératoire composé de deux salles d'opération.Notons que cette structure qui est en principe dédiée exclusivement aux urgences gynéco-obstétricales et néonatales se retrouve complètement dépassée puisqu'elle reçoit les cas les plus banals.A ce propos, la direction de la clinique nourrit des craintes sur la capacité de cette structure qui reçoit un taux impressionnant de visiteurs. Le directeur, Amrar Mohand, pense à ordonner une expertise pour écarter tout risque d'effondrement de la structure doublement exploitée où les malades se retrouvent parfois deux dans le même lit.Ce dernier n'a pas manqué de souligner qu'«en raison de l'exiguïté des lieux, le nombre des lits et des couveuses est limité et que parfois deux parturientes occupent le même lit et ce alors que les couveuses des établissements sanitaires auxiliaires sont utilisés à hauteur de 10 % seulement.»En attendant la réalisation d'un complexe mère-enfant au nouveau pôle urbain de Oued Falli dont le choix de terrain a été effectué et une enveloppe financière de 2 millions de dinars a été dégagée pour assurer les études techniques, le problème de la clinique Sbihi ne saura être définitivement résolu.
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Posté Le : 27/01/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : D I
Source : www.infosoir.com