À cinq mois de la fin de la guerre d’Algérie, le 17 octobre 1961, Paris a connu le plus grand massacre des gens du peuple depuis la Semaine sanglante de 1871.
Des dizaines de milliers d’Algériens manifestant sans armes ont été violemment réprimés par des policiers aux ordres du préfet Maurice Papon, faisant peut-être deux cents morts.
Et, pendant une trentaine d’années, ce drame a été «oublié»…
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Posté Le : 11/04/2012
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Source : El Watan.com du lundi 9 avril 2012