«Pour parvenir à réformer le CFCO, il faut une nouvelle dynamique pour changer la gestion, affecter des investissements importants», a indiqué la directrice des opérations à la BM pour le Congo, Marie-Françoise Marie Nelly. Jadis considéré comme l’épine dorsale de l’économie congolaise, le CFCO, principale voie d’échanges entre Brazzaville et le port côtier de Pointe-Noire, a été très endommagé pendant les années de guerre civile (1990-2003). Sa rénovation partielle a déjà coûté officiellement plus de 13,7 millions d’euros.
«La diversification de l’économie permettrait au Congo de développer le secteur hors pétrole, qui peine à prendre son ampleur dans la croissance dont la grosse part provient du secteur pétrolier qui constitue plus de 70% des recettes de l’Etat pour 92% des exportations», souligne le texte de l’accord. L’accord comprend des projets d’amélioration de la compétitivité, le soutien au dialogue entre le public-privé, la promotion des investissements privés et le renforcement du dispositif institutionnel d’appui aux entreprises en vue de créer les conditions de développement des Petites et moyennes entreprise (PME), selon le texte.
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Posté Le : 07/02/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Rédaction Economie
Source : www.elwatan.com