L'Université Ziane Achour de Djelfa a tenu une conférence internationale pendant trois jours, où plus d'une centaine d'intervenants ont animé par exposés et par data show des résultats de travaux entrepris où menés par chacun des scientifiques présents. Plusieurs universités et instituts à travers le monde ont suivi et contribué via internet. Cette conférence ou congrès, selon la langue utilisée (anglais en général), a tenu toutes ses promesses.
Le nombre des participants a largement dépassé la centaine en in situ et plusieurs centaines à distance au niveau de toutes les universités du monde. Nous nous sommes rapprochés du Dr maitre de conférence Boussaid Adel qui est président du comité d'organisation de cette prestigieuse conférence scientique.qui nous déclare « ce congrès a pour thème général «La dégradation des terres steppiques et les possibilités de développement». C'est la communauté scientifique qui est visée, notamment ceux qui sont spécialistes dans le domaine des sciences de la terre, des agronomes des écologues, les environnementalistes et toutes les fonctions ou filières liées à la dégradation des terres. Le thème général est la dégradation des terres steppiques qui s'éclate en plusieurs thèmes. Le premier s'articule sur la géographie, un autre thème qui traite de la question de l'eau et les changements climatiques, des thèmes sur la faune et la flore, un autre thème qui élude les questions juridique et les lois qui régissent l'espace steppique et mitigation de la désertification.
«Aujourd'hui, c'est l'aboutissement d'un labeur de trois années. Après concertation, d'autres universités au niveau mondial, notamment l'université de Liège en Belgique et une autre de Slovénie, avions alors jugé nécessaire d'organiser ce congrès. Notre démarche consiste à vulgariser d'abord et familiariser la communauté scientifique sur les aspects de dégradation dans les régions steppiques méditerranéennes. Nous avons alors lancé cette démarche unitaire. D'ailleurs, elle est placée sous l'égide de L'UGI (l'Union de géographie internationale), qui elle-même dépend de l'Unesco.» Pour rappel, parmi les participants à ce congrès, il y a des sommités mondiales inscrites au bord scientifique.
Le choix de Djelfa est représentatif en tant que capitale de la steppe. C'est le coeur de la steppe en l'Algérie, notamment en dégradation de terres où existent les différents types de dégradations : on trouve la déforestation, l'ensablement, l'érosion hydrique, l'érosion éolienne et bien d'autres phénomènes naturels (nouveaux). Le comité académique a relevé que la majorité des participants (plus de 75%) sont spécialisés dans le domaine de l'eau. Djilali Harfouche
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Posté Le : 21/11/2024
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Rédaction LNR
Source : www.lnr-dz.com