La réduction de la pollution urbaine reste un sujet délicat à traiter. De nos jours, plusieurs études s’intéressent à évaluer un milieu ambiant où la dégradation s’apprête le mieux. C’est dans ce contexte que s’inscrit le présent travail qui porte sur la dégradation des paramètres organiques (DBO5, DCO, MES, O2, NO-3, pH, T, Fer, turbidité) dans différents milieux : naturel (rivière), canal artificiel, rivière (aux rives revêtues). Le traitement des données, effectué sur les trois sites d’observation sur deux saisons (à régime différent), a permis de suivre la cinétique de dégradation des paramètres pris en considération.
L’évaluation du niveau de pollution, en calculant le coefficient de dégradation (Kd) pour chaque site, a annoncé une dégradation dans l’espace (le milieu naturel dégrade mieux relativement aux autres sites) ; dans le temps, on observe une décroissance de la pollution du mois de janvier vers le mois de mars.
Il ressort alors de la présente étude que la dégradation de la pollution est optimale en milieu naturel et puis secondairement en site semi-naturel.
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Posté Le : 01/02/2024
Posté par : einstein
Ecrit par : - Amel Djedaoune
Source : Synthèse Volume 21, Numéro 1, Pages 40-47