26 ans ! Un quart de siècle est déjà passé, les victimes de la répression sauvage du 5 Octobre 1988 ainsi que leurs ayants droit continuent à être ignorés par les pouvoirs publics. Tandis que ces mêmes pouvoirs s'emploient à réhabiliter les terroristes égorgeurs, massacreurs, saboteurs, la mémoire des victimes innocentes tombées pendant le soulèvement historique d'Octobre 1988 est cadenassée dans les tiroirs poussiéreux de la Caisse de sécurité sociale des travailleurs.Nous, victimes, familles des victimes d'Octobre 1988, appelons publiquement le président de la République à réhabiliter moralement toutes les victimes et leurs ayants droit et demandons réparation en fonction des préjudices subis.P/le président, Hamou El-Hadj Azouaou
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Posté Le : 06/10/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Liberté
Source : www.liberte-algerie.com