Algérie

Commission nationale à vos marques ! Sous la Plume



Si des orientations sont données par le ministère de tutelle pour alléger le contenu du cartable rien ne dit que cela se traduira dans les faits.Si des orientations sont données par le ministère de tutelle pour alléger le contenu du cartable rien ne dit que cela se traduira dans les faits.
Le ministère de l'Education nationale décide pour la prochaine rentrée scolaire de prendre des mesures pour alléger le poids du cartable si souvent décrié aussi bien par les parents d'élèves, médecins et enfants. Une commission, encore une, est chargée de plancher sur le sujet. A chaque rentrée scolaire, les parents sont confrontés à un achat important de cahiers.
Les enseignants aux caprices extravagants ont la plus grosse part de responsabilité en exigeant des dizaines de cahiers d'au moins 120 pages, des classeurs, des registres aux enfants qu'ils sont obligés de trimballer quotidiennement au vu des emplois du temps qui sont eux aussi chargés et disons-le à la mauvaise répartition des cours dispensés durant la semaine le plus souvent pour « arranger » les emplois du temps des professeurs pour bénéficier de matinées ou d'après-midi de libre.
Si des orientations sont données par le ministère de tutelle pour alléger le contenu du cartable rien ne dit que cela se traduira dans les faits. Et comme les réflexes ont la peau dure, les surveillants généraux à qui on demandera de standardiser les emplois du temps seront confrontés à un véritable casse-tête chinois pour mettre en pratique les directives au bénéfice des élèves d'une part et de contenter les enseignants d'autre part.
Vers qui penchera le plateau de la balance ' Demander aux parents d'acheter des cartables qui soient à la taille de l'enfant, solides et rembourrés influera sur le coût et ne sera pas à la portée de toutes les bourses. Mais pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple !
L'achat d'armoires ou de casiers faciliterait la vie et permettrait aux enfants de gérer leurs livres et leurs cahiers en fonction de leur emploi du temps respectif et des exercices à faire à la maison. Un excellent entraînement que l'on peut inscrire au registre de la pédagogie. Mais le must réside dans l'emploi des TIC mais cela ne sera pas encore pour demain.
Le ministère de l'Education nationale décide pour la prochaine rentrée scolaire de prendre des mesures pour alléger le poids du cartable si souvent décrié aussi bien par les parents d'élèves, médecins et enfants. Une commission, encore une, est chargée de plancher sur le sujet. A chaque rentrée scolaire, les parents sont confrontés à un achat important de cahiers.
Les enseignants aux caprices extravagants ont la plus grosse part de responsabilité en exigeant des dizaines de cahiers d'au moins 120 pages, des classeurs, des registres aux enfants qu'ils sont obligés de trimballer quotidiennement au vu des emplois du temps qui sont eux aussi chargés et disons-le à la mauvaise répartition des cours dispensés durant la semaine le plus souvent pour « arranger » les emplois du temps des professeurs pour bénéficier de matinées ou d'après-midi de libre.
Si des orientations sont données par le ministère de tutelle pour alléger le contenu du cartable rien ne dit que cela se traduira dans les faits. Et comme les réflexes ont la peau dure, les surveillants généraux à qui on demandera de standardiser les emplois du temps seront confrontés à un véritable casse-tête chinois pour mettre en pratique les directives au bénéfice des élèves d'une part et de contenter les enseignants d'autre part.
Vers qui penchera le plateau de la balance ' Demander aux parents d'acheter des cartables qui soient à la taille de l'enfant, solides et rembourrés influera sur le coût et ne sera pas à la portée de toutes les bourses. Mais pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple !
L'achat d'armoires ou de casiers faciliterait la vie et permettrait aux enfants de gérer leurs livres et leurs cahiers en fonction de leur emploi du temps respectif et des exercices à faire à la maison. Un excellent entraînement que l'on peut inscrire au registre de la pédagogie. Mais le must réside dans l'emploi des TIC mais cela ne sera pas encore pour demain.


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