Algérie

Commémoration du 20 août à Aïn Témouchent



La fondation Emir Abd El Kader honore les Moudjahidin et les journalistes A l’occasion de la commémoration de la Journée nationale du Moudjahid, qui a été organisée lundi dernier à la salle de conférence de la mairie d’Ain Temouchent, la fondation Emir Abd El Kader, section d’Ain Temouchent s’est distinguée par un geste haut en honorant les moudjahidine et les journalistes de la ville. Plusieurs personnalités et figures de la cité, moudjahidine, militants associatifs, et membres de la société civile et journalistes ont assisté au cérémonial. Saisissant l’opportunité, l’enfant d’Ain Temouchent, grande figure du mouvement national, M.Briki Abdelkader a présenté une rétrospective historique retraçant les étapes du combat nationaliste de la population d’Ain Témouchent. Dans son intervention, M.Briki a précisé que, depuis l’ère de l’Emir Abd El Kader, Ain Temouchent était un point de jonction stratégique entre les trois grandes villes de l’ouest, Oran, Tlemcen et Sidi Bel Abbes. Et concernant les événements du 9 décembre 1960, M.Briki a fermement tenu à lever les équivoques sur ce sujet en martelant, que cette épopée était une action élaborée et planifiée par la direction de la Révolution et non une action spontanée ou un chahut de gamin comme chattent les milieux hostiles à l’Indépendance de l’Algérie . Après lui, le professeur universitaire d’histoire Sohbi, a expliqué que le 20 août fut une offensive généralisée sur tout le territoire national. Continuant dans le même sens, le Dr Abdel Malek, président de la fondation Emir Abd El Kader, section d’Ain Temouchent a été clair en affirmant que l’Emir mérite plus d’une commémoration mais le plus important est d’apprendre l’histoire de notre pays et de notre région. C’est la meilleure manière de se réconcilier avec son patrimoine identitaire et de développer une culture de la fraternité, l’amitié et la solidarité, en rejetant la haine et l’égoïsme destructeur. A la fin de la cérémonie, la fondation a honoré la figure historique des années 1945, Briki Abdelkader et des correspondants journalistes dont le nommé Sahraoui Djelloul de la Voix de l’Oranie.


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