«Coach, coach, je veux une victoire !»

Vahid Halilhodzic ne compte plus le nombre de personnes qui sont venues le voir pour se faire prendre en photo avec lui, lui dire bonjour, ou juste lui serrer la main, lundi à Orly.Vahid Halilhodzic ne compte plus le nombre de personnes qui sont venues le voir pour se faire prendre en photo avec lui, lui dire bonjour, ou juste lui serrer la main, lundi à Orly. Le sélectionneur était tellement sollicité qu'il ne s'est pas gêné à un moment de repousser ses fans, car affairé à embarquer pour Banjul. Mais l'image de l'homme froid qu'il dégage a littéralement fondu devant la sollicitation d'un petit garçon, venu lui faire la bise et lui demander une petite faveur : «Coach, coach, Je veux une victoire», lui a-t-il chuchoté à l'oreille. Rien que ça. Une victoire à Banjul que 35 millions d'Algériens exigent. Mais rien que pour les beaux yeux de ce bambin, Halilhodzic a promis de faire de son mieux !