Le 10e Festival culturel national des Aïssaoua de la ville de Mila a été clôturé en beauté, jeudi soir, avec un concert haut de gamme du groupe constantinois Errachidia.Le 10e Festival culturel national des Aïssaoua de la ville de Mila a été clôturé en beauté, jeudi soir, avec un concert haut de gamme du groupe constantinois Errachidia.Sous la direction du maestro Cheikh Azzouz Bouabid, une heure et demi durant, la troupe a crée une atmosphère d'allégresse, mêlée au mysticisme, dévoilant un héritage impressionnant de l'art Aïssaoui constantinois, dans une soirée mémorable, marquée par une extraordinaire fusion avec le public, présent à la maison de la culture.Du chant "Essalat oua essalam aâla Mohamed" aux mada'ih religieux constituant les standards du chant de la ??Hadra'' à Constantine, en passant par une qacida en hommage au fondateur de la tariqa aïssaouia, Mohamed Ben Aïssa, l'assistance a été transportée dans une sorte de transe, dans un rythme à couper le souffle, aux sons des et des percussions. La troupe Errachidia de Constantine a été créée en 1997. Elle s'emploie, depuis, avec d'autres formations du Vieux Rocher, à préserver l'authenticité de cet art séculaire. La soirée a été aussi marquée par la participation distinguée du cheikh Mohamed Ghaffour qui a gratifié l'assistance avec un bouquet de ses chefs d'oeuvres.Des hommages ont été rendus, au cours de cette soirée de clôture, aux conférenciers, Saïd Djaballah, Abdelkader Belarbi et Mohamed Boucebta qui ont enrichi les festivités avec des communications portant sur l'art Aïssaoui. Ouvert dimanche dernier, sous le slogan "La dimension arabe de l'art aïssaoui", en présence du ministre de la Culture Azzedine Mihoubi, la 10e édition du Festival culturel national des Aïssaoua a réuni quinze troupes venues de quatorze wilayas du pays.Sous la direction du maestro Cheikh Azzouz Bouabid, une heure et demi durant, la troupe a crée une atmosphère d'allégresse, mêlée au mysticisme, dévoilant un héritage impressionnant de l'art Aïssaoui constantinois, dans une soirée mémorable, marquée par une extraordinaire fusion avec le public, présent à la maison de la culture.Du chant "Essalat oua essalam aâla Mohamed" aux mada'ih religieux constituant les standards du chant de la ??Hadra'' à Constantine, en passant par une qacida en hommage au fondateur de la tariqa aïssaouia, Mohamed Ben Aïssa, l'assistance a été transportée dans une sorte de transe, dans un rythme à couper le souffle, aux sons des et des percussions. La troupe Errachidia de Constantine a été créée en 1997. Elle s'emploie, depuis, avec d'autres formations du Vieux Rocher, à préserver l'authenticité de cet art séculaire. La soirée a été aussi marquée par la participation distinguée du cheikh Mohamed Ghaffour qui a gratifié l'assistance avec un bouquet de ses chefs d'oeuvres.Des hommages ont été rendus, au cours de cette soirée de clôture, aux conférenciers, Saïd Djaballah, Abdelkader Belarbi et Mohamed Boucebta qui ont enrichi les festivités avec des communications portant sur l'art Aïssaoui. Ouvert dimanche dernier, sous le slogan "La dimension arabe de l'art aïssaoui", en présence du ministre de la Culture Azzedine Mihoubi, la 10e édition du Festival culturel national des Aïssaoua a réuni quinze troupes venues de quatorze wilayas du pays.
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Posté Le : 20/09/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com