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CHRONIQUE DE BAB-EZZOUAR AADL : REPAREZ VITE NOTRE ASCENSEUR !



Ça commence à bien faire ! On a construit des tours, alors le fonctionnement des ascenseurs devient une priorité absolue pour les responsables de l'AADL, dans la mesure où de nombreuses autres tâches qui lui sont dévolues ne sont plus prises en charge : par exemple, l'éclairage et la peinture des paliers, la serrure avec vérin de la porte d'entrée principale, la condamnation des vide-ordures situés dans les cages d'escalier ou même la surveillance que l'on règle sur les quittances mensuelles et qui ne figurent plus dans les activités de notre site.
Notre ascenseur est en panne et l'on ne se presse guère pour le réparer quand bien même des colocataires âgés, handicapés moteurs et insuffisants cardiaques éprouvent toutes les peines du monde à regagner leurs domiciles aux étages supérieurs. Et vous n'avez pas d'interlocuteur fiable. Quelle que soit la nature de la panne, il y a lieu d'activer pour la remise en marche immédiate de l'appareil. Gérer, c'est prévoir ! Que l'on ne vienne pas nous raconter que telle ou telle pièce n'est pas disponible ou serait très onéreuse, ou alors que les techniciens ne sont pas disponibles faute de convention. Il y a lieu d'envisager à l'avance le stockage des pièces les plus usuelles ou les plus fragiles et se tenir prêt à intervenir immédiatement en cas de panne. Et que l'on ne nous fasse pas cas, aussi, des autres ascenseurs toujours à l'arrêt, car ce serait autant de fautes supplémentaires à mettre à l'actif de l'Agence du logement. Faut-il rappeler que les charges mensuelles, très élevées au demeurant, et qui comprennent, tenez-vous bien, des charges non imposables, des charges d'administration et de gestion, des charges communes (') et des frais de surveillance des parties communes ('), payées rubis sur l'ongle, nous coûtent les yeux de la tête chaque mois ' Quoi qu'il en soit, la priorité des priorités reste le fonctionnement permanent de l'ascenseur tout comme celle du règlement obligatoire de nos mensualités et de toutes les charges pour lesquelles des pénalités sont appliquées dès le premier retard. Je me pose la question comment l'AADL pourrait gérer les futurs 50 000 logements avec 1 500 autres ascenseurs ; à moins que ça soit des villas. Alors, messieurs les responsables, nous attendons du concret aussi vite que possible. Je mets, avec toutes les peines du monde, une demi-heure pour regagner le 7e étage, une fois par jour seulement.
Kamel Adjou,
AADL «El Mossalaha», Bt 04, n°28 Bâb Ezzouar 2


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