Algérie

Chose promise, chose due



Chose promise, chose due
Depuis son arrivée à la tête du département de la culture, les choses bougent au profit de toute la famille artistique. Et dans le bon sens. Et ce, malgré le fardeau qu'elle a hérité lors de son installation à la tête de son institution.Depuis son arrivée à la tête du département de la culture, les choses bougent au profit de toute la famille artistique. Et dans le bon sens. Et ce, malgré le fardeau qu'elle a hérité lors de son installation à la tête de son institution.Dynamique et dévouée pour la cause de notre patrimoine culturel, la ministre de la Culture, Nadia Labidi, confirme tout le bien dont on parlait d'elle. Une Dame qui mérite, donc, d'être félicitée, soutenue et encouragée pour toutes les bonnes initiatives qu'elle est en train d'entreprendre. En acceptant cette lourde tâche, elle avait déjà une vision claire de la mission qui l'attend. Parmi ses priorités, elle entend lutter contre la précarité et s'atteler à la création d'une société de la culture citoyenne.D'ailleurs, elle avait invité toute la famille artistique pour cerner les problèmes qu'elle endurent. Et c'est là qu'elle avait annoncé la création d'entreprises dans le secteur culturel au profit des jeunes dans le cadre de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (Ansej). Et ce n'était pas une parole creuse, elle joint l'acte à la parole. Pour preuve, une convention encadrant l'attribution des aides de l'Etat au profit des créateurs d'entreprises dans le secteur culturel a été signée, lundi à Alger, entre le ministère de la Culture et le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale.Les jeunes diplômés et les demandeurs d'emploi porteurs de projets culturels pourront bénéficier de prêts via l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (Ansej) et la Caisse nationale d'assurance chômage (Cnac), a expliqué la ministre de la Culture, Nadia Labidi, lors de la cérémonie de signature de la convention avec le ministre du Travail, de l'Emploi et de de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi. Cette "convention-cadre", signée pour une durée de cinq ans entre les deux ministères, vise à "intégrer l'activité culturelle au développement économique", en encourageant la création de micro-entreprises dans ce secteur, a indiqué Mme Labidi.Une liste "non limitative" de trente-cinq domaines (patrimoine, livre, beaux-arts, cinéma, etc.) a été, par ailleurs, établie dans le cadre de cette convention, a précisé la ministre qui a également évoqué la signature prochaine d'une autre convention avec le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels. Des commissions mixtes (nationale et au niveau des wilayas) chargées de définir le "programme" et les "mécanismes d'attribution" des aides publiques et du suivi de leur application seront, en outre, mises en place, selon une synthèse de la convention élaborées par les deux ministères.Le ministère de la Culture s'engage également, en vertu de la convention, à organiser des journées d'études et de sensibilisation aux métiers de la culture et à proposer un "accompagnement" et un "encadrement" des futurs entrepreneurs par la réalisation, notamment, d'un "plan de charges" pour mener à bien leurs projets. Le ministre du Travail, de l'Emploi et la de la Sécurité sociale a indiqué, de son côté, qu'une "évaluation au niveau local" du nombre de demandeurs d'emploi dans le secteur de la culture sera mise en place dans le cadre de cette convention dont l'entrée en vigueur est "imminente".Plus de 3.000 entrepreneurs culturels ont déjà bénéficié (entre 1996 et 2014) de prêts publics via l'Ansej, selon un chargé de la communication au ministère du Travail, de l'Emploi et la de la Sécurité sociale. Ces activités (édition, organisation de spectacles....) n'étaient pas, jusqu'ici, définies selon une nomenclature d'activités spécifiques au secteur de la Culture. La Cnac aide à la création de mirco-entreprises pour les chômeurs âgés entre 30 et 50 ans, par des financements directs et un accompagnement des entrepreneurs dans l'élaboration de montages financiers, notamment.Dynamique et dévouée pour la cause de notre patrimoine culturel, la ministre de la Culture, Nadia Labidi, confirme tout le bien dont on parlait d'elle. Une Dame qui mérite, donc, d'être félicitée, soutenue et encouragée pour toutes les bonnes initiatives qu'elle est en train d'entreprendre. En acceptant cette lourde tâche, elle avait déjà une vision claire de la mission qui l'attend. Parmi ses priorités, elle entend lutter contre la précarité et s'atteler à la création d'une société de la culture citoyenne.D'ailleurs, elle avait invité toute la famille artistique pour cerner les problèmes qu'elle endurent. Et c'est là qu'elle avait annoncé la création d'entreprises dans le secteur culturel au profit des jeunes dans le cadre de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (Ansej). Et ce n'était pas une parole creuse, elle joint l'acte à la parole. Pour preuve, une convention encadrant l'attribution des aides de l'Etat au profit des créateurs d'entreprises dans le secteur culturel a été signée, lundi à Alger, entre le ministère de la Culture et le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale.Les jeunes diplômés et les demandeurs d'emploi porteurs de projets culturels pourront bénéficier de prêts via l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (Ansej) et la Caisse nationale d'assurance chômage (Cnac), a expliqué la ministre de la Culture, Nadia Labidi, lors de la cérémonie de signature de la convention avec le ministre du Travail, de l'Emploi et de de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi. Cette "convention-cadre", signée pour une durée de cinq ans entre les deux ministères, vise à "intégrer l'activité culturelle au développement économique", en encourageant la création de micro-entreprises dans ce secteur, a indiqué Mme Labidi.Une liste "non limitative" de trente-cinq domaines (patrimoine, livre, beaux-arts, cinéma, etc.) a été, par ailleurs, établie dans le cadre de cette convention, a précisé la ministre qui a également évoqué la signature prochaine d'une autre convention avec le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels. Des commissions mixtes (nationale et au niveau des wilayas) chargées de définir le "programme" et les "mécanismes d'attribution" des aides publiques et du suivi de leur application seront, en outre, mises en place, selon une synthèse de la convention élaborées par les deux ministères.Le ministère de la Culture s'engage également, en vertu de la convention, à organiser des journées d'études et de sensibilisation aux métiers de la culture et à proposer un "accompagnement" et un "encadrement" des futurs entrepreneurs par la réalisation, notamment, d'un "plan de charges" pour mener à bien leurs projets. Le ministre du Travail, de l'Emploi et la de la Sécurité sociale a indiqué, de son côté, qu'une "évaluation au niveau local" du nombre de demandeurs d'emploi dans le secteur de la culture sera mise en place dans le cadre de cette convention dont l'entrée en vigueur est "imminente".Plus de 3.000 entrepreneurs culturels ont déjà bénéficié (entre 1996 et 2014) de prêts publics via l'Ansej, selon un chargé de la communication au ministère du Travail, de l'Emploi et la de la Sécurité sociale. Ces activités (édition, organisation de spectacles....) n'étaient pas, jusqu'ici, définies selon une nomenclature d'activités spécifiques au secteur de la Culture. La Cnac aide à la création de mirco-entreprises pour les chômeurs âgés entre 30 et 50 ans, par des financements directs et un accompagnement des entrepreneurs dans l'élaboration de montages financiers, notamment.




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