Les citoyens de la région d'Ard El-Beïda reviennent à la charge pour renouveler et soulever les contraintes auxquelles ils sont confrontés et aux mauvaises conditions de vie.Selon les représentants des quelques 12000 foyers, la situation ne fait que se détériorer au fil des jours, ajoutant dans leur requête, que les responsables à tous les niveaux ont toujours été remarqués par leur silence. Effectivement, la région que notre journal a visité cette dernière semaine est dépourvue de toutes les installations que ce soit administratives ou sportives. Un cadre de vie qui laisse beaucoup à désirer pour une jeunesse quelque peu perdue dans les décors. Les citoyens de la cité Sahraoui, d'El-Haddar et des 54 logements lancent un appel pressant de détresse à l'égard des autorités locales pour se pencher sur une région dépourvue de routes praticables, de réalisation d'infrastructures scolaires et autres projets d'ordre économique. Un endroit complètement délaissé depuis de longues années. L'effort consenti par l'Etat n'a pas trouvé d'écho favorable au sein de cette partie dépendant de Chlef, d'Ouled Farès et de Chettia. Aucune nouvelle réalisation n'a touché ce lieu et plus particulièrement l'absence de structures telles qu'un centre de santé, un terrain de jeux de proximité ou mieux encore, l'éclairage qui fait largement défaut. D'autres obstacles touchent aussi bien les fellahs qui ne peuvent pénétrer dans leurs champs à cause de l'impraticabilité des voies d'accès. Une voie complètement marquée de crevasses, ce qui pousse les transporteurs à ne pas fréquenter cette ligne. Dans le contenu de leur lettre, les citoyens sollicitent, l'intervention du wali pour une prise en charge effective de leurs préoccupations depuis longtemps décriées.
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Posté Le : 24/07/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M Mokhtari
Source : www.reflexiondz.net