Lors de la session d'automne de l'APW, tenue récemment, le troisième point inscrit à l'ordre du jour était les logements en préfabriqué réalisés après le séisme du 10 octobre 1980. Après la lecture du rapport par le président de la commission compétente, plusieurs élus ont pris la parole. Parmi les problèmes posés figurent l'état de délabrement avancé des logements qui constitue une menace pour la santé des occupants. Pour les 49 baraques incendiées, la commission ne procède pas à leur évaluation malgré que les concernés sont en possession d'actes d'attribution. Concernant les chalets survolés par les lignes électriques, l'aide financière directe, dont le montant est de 120 millions de centimes, reste conditionnée par le déplacement de ces lignes. Les occupants ne peuvent pas supporter les frais de déplacement, pour la majorité d'entre eux, ils n'arrivent même pas à satisfaire aux besoins les plus élémentaires de leur subsistance. Les héritiers ne bénéficient pas de l'aide citée. Des élus ont pointé du doigt la bureaucratie en cause dans les retards et ont demandé un délai supplémentaire pour le dossier du préfabriqué, au-delà de l'année 2020.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 19/10/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Abbad Miloud
Source : www.lequotidien-oran.com