Algérie

Charbon ou gaz de schiste, pour l'AIE il faut choisir



Charbon ou gaz de schiste, pour l'AIE il faut choisir
L'Agence internationale de l'Energie (AIE) propose des «règles d'or» pour faire admettre la nécessité d'exploiter les gisements de gaz de schiste. Selon l'AIE, sans l'exploitation du gaz non conventionnels, la production mondiale d'électricité nécessitera toujours davantage de charbon, avec des conséquences très négatives sur les émissions de CO2.
L'AIE reconnaît que la technique actuellement utilisée, qui consiste à fracturer la roche en profondeur par une injection d'eau et de produits chimiques, est un processus controversé, jugé par ses détracteurs, hautement polluant et déclencheur de secousses sismiques.
L'institution propose donc l'adoption d'une série de «règles d'or» à savoir une transparence complète de la part des industriels, les sites de forage qui excluent les zones à risques sismiques, des standards plus élevés dans la conception des puits afin d'éviter les fuites dans les nappes phréatiques.
Dans ces conditions, le gaz de schiste pourrait fournir jusqu'à 25% des besoins énergétiques de la planète, reléguant le charbon en seconde source d'énergie, derrière le pétrole, avec de fortes incidences positives sur les émissions de CO2.
20% des banques
de la zone MENA devront renforcer leurs fonds propres
Selon un rapport d'Arqaam Capital se basant sur les critères Bâle III, 54 banques de la zone MENA (Middle East and North Africa) auraient besoin de renforcer leur capital pour répondre aux normes réglementaires. Sept banques ont été identifiées comme étant sous capitalisés, dont Emirates NBD et Ahli United Bank. Cinq banques incluant Kuwait Finance House, Commercial Bank of Qatar auraient besoin de renforcer leur capital en raison d'une politique généreuse de distribution de dividendes.
Ejecté d'Argentine, Repsol investira 400 millions
en Algérie
Pour tourner la page de l'Argentine qui a décidé de nationaliser la compagnie pétrolière YPF dont le groupe espagnol possédait 57,4% des parts, Repsol a défini un nouveau plan stratégique. «D'une certaine manière, l'expropriation de YPF nous a fait tout remettre en question, pour recommencer, reprendre des forces», a déclaré le président du groupe, Antonio Brufau. Ce plan repose un investissement total de 19,1 milliards d'euros dont le lancement de 10 projets d'envergure qui mobiliseront 2 milliards au Brésil, 2,3 milliards aux USA, 1,2 milliard au Venezuela, 400 millions en Russie, 400 millions en Algérie, 300 millions en Bolivie, 70 millions au Pérou et 20 millions en Espagne.
Pour l'Algérie, il s'agit de Reggane Nord. Ce projet, dont l'entrée en production est fixée à l'été 2016, s'inscrit dans le cadre d'un accord, déjà signé avec Sonatrach il y a quelques mois, pour développer six nouveaux champs gaziers selon la répartition suivante : Sonatrach 40%, Repsol 29,25%, RWE DEA (Allemagne) 19,5% et Edison (Italie) 11,25%. L'objectif est de 8 millions de m3 de gaz par jour dès la première année.
L'Agence internationale de l'Energie (AIE) propose des «règles d'or» pour faire admettre la nécessité d'exploiter les gisements de gaz de schiste. Selon l'AIE, sans l'exploitation du gaz non conventionnels, la production mondiale d'électricité nécessitera toujours davantage de charbon, avec des conséquences très négatives sur les émissions de CO2.
L'AIE reconnaît que la technique actuellement utilisée, qui consiste à fracturer la roche en profondeur par une injection d'eau et de produits chimiques, est un processus controversé, jugé par ses détracteurs, hautement polluant et déclencheur de secousses sismiques.
L'institution propose donc l'adoption d'une série de «règles d'or» à savoir une transparence complète de la part des industriels, les sites de forage qui excluent les zones à risques sismiques, des standards plus élevés dans la conception des puits afin d'éviter les fuites dans les nappes phréatiques.
Dans ces conditions, le gaz de schiste pourrait fournir jusqu'à 25% des besoins énergétiques de la planète, reléguant le charbon en seconde source d'énergie, derrière le pétrole, avec de fortes incidences positives sur les émissions de CO2.
20% des banques
de la zone MENA devront renforcer leurs fonds propres
Selon un rapport d'Arqaam Capital se basant sur les critères Bâle III, 54 banques de la zone MENA (Middle East and North Africa) auraient besoin de renforcer leur capital pour répondre aux normes réglementaires. Sept banques ont été identifiées comme étant sous capitalisés, dont Emirates NBD et Ahli United Bank. Cinq banques incluant Kuwait Finance House, Commercial Bank of Qatar auraient besoin de renforcer leur capital en raison d'une politique généreuse de distribution de dividendes.
Ejecté d'Argentine, Repsol investira 400 millions
en Algérie
Pour tourner la page de l'Argentine qui a décidé de nationaliser la compagnie pétrolière YPF dont le groupe espagnol possédait 57,4% des parts, Repsol a défini un nouveau plan stratégique. «D'une certaine manière, l'expropriation de YPF nous a fait tout remettre en question, pour recommencer, reprendre des forces», a déclaré le président du groupe, Antonio Brufau. Ce plan repose un investissement total de 19,1 milliards d'euros dont le lancement de 10 projets d'envergure qui mobiliseront 2 milliards au Brésil, 2,3 milliards aux USA, 1,2 milliard au Venezuela, 400 millions en Russie, 400 millions en Algérie, 300 millions en Bolivie, 70 millions au Pérou et 20 millions en Espagne.
Pour l'Algérie, il s'agit de Reggane Nord. Ce projet, dont l'entrée en production est fixée à l'été 2016, s'inscrit dans le cadre d'un accord, déjà signé avec Sonatrach il y a quelques mois, pour développer six nouveaux champs gaziers selon la répartition suivante : Sonatrach 40%, Repsol 29,25%, RWE DEA (Allemagne) 19,5% et Edison (Italie) 11,25%. L'objectif est de 8 millions de m3 de gaz par jour dès la première année.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)