dossiers de corruption qui ont défrayé la chronique durant la dernière décennie. En effet, dans une dépêche parue hier, l'agence officielle révèle que le dossier Sonatrach II ainsi que celui de l'autoroute Est-Ouest ont été déféré devant la Cour suprême.dossiers de corruption qui ont défrayé la chronique durant la dernière décennie. En effet, dans une dépêche parue hier, l'agence officielle révèle que le dossier Sonatrach II ainsi que celui de l'autoroute Est-Ouest ont été déféré devant la Cour suprême.
Le premier dossier concerne directement l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khelil, dans le cadre ce qu'on appelle communément l'"Affaire Sonatrach II". Ce dernier est accusé d'avoir "accepté et octroyé des avantages indus" ainsi que d'avoir accordé des privilèges injustifiés lors de la signature de contrats et avenants. L'ancien P.-dg de laSonatrach est poursuivi également pour "avoir obtenu des bénéfices de manière illégale et blanchiment d'argent.
Dans l'autre affaire, l'ancien ministre des Travaux publics, Amar Ghoul est accusé d'avoir accordé des avantages indus, d'avoir versé des pots-de-vin. Il est, en outre, poursuivi pour dilapidation de biens et d'argent public et de trafic d'influence. Autrement dit, les deux ministres du temps du président déchu risquent gros dans ces deux affaires parmi les plus gros dossiers de corruption de l'histoire du pays.
Le premier dossier concerne directement l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khelil, dans le cadre ce qu'on appelle communément l'"Affaire Sonatrach II". Ce dernier est accusé d'avoir "accepté et octroyé des avantages indus" ainsi que d'avoir accordé des privilèges injustifiés lors de la signature de contrats et avenants. L'ancien P.-dg de laSonatrach est poursuivi également pour "avoir obtenu des bénéfices de manière illégale et blanchiment d'argent.
Dans l'autre affaire, l'ancien ministre des Travaux publics, Amar Ghoul est accusé d'avoir accordé des avantages indus, d'avoir versé des pots-de-vin. Il est, en outre, poursuivi pour dilapidation de biens et d'argent public et de trafic d'influence. Autrement dit, les deux ministres du temps du président déchu risquent gros dans ces deux affaires parmi les plus gros dossiers de corruption de l'histoire du pays.
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Posté Le : 20/02/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com