Algérie

Ce que prévoit la Banque mondiale



La Banque mondiale anticipeune baisse de la croissance en Algérie de 6,4% pour l'année en cours, en raison de l'impact de la pandémie du coronavirus, selon le dernier rapport sur les perspectives économiques mondiales 2020 publié hier.La Banque mondiale anticipeune baisse de la croissance en Algérie de 6,4% pour l'année en cours, en raison de l'impact de la pandémie du coronavirus, selon le dernier rapport sur les perspectives économiques mondiales 2020 publié hier.
La Banque mondiale prévoit, dans son rapport, une croissance de l'Algérie de 1,9% pour l'année 2021, alors que le Fonds monétaire international a prévu, en avril dernier, une croissance de 6,2% pour 2021. Le repli de la croissance économique devrait être plus important en Algérie que la moyenne de tous les autres pays de la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA), estimée par l'institution de Breton Woods à -4,2%.
La Banque mondiale prévoit également, un repli du PIB réel de la Tunisie et au Maroc de 4% en 2020, avant de croître respectivement de 4,2% et 3,4% en 2021. La pandémie du Covid-19 et les mesures prises pour l'endiguer ont fortement ralenti l'activité à court terme de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, tout en accroissant l'aversion des investisseurs pour le risque, ce qui a exacerbé l'instabilité de la situation financière, indique le même rapport. Selon la Banque mondiale, l'activité économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord devrait se contracter de 4,2 %, sous l'effet de la pandémie et de l'évolution du marché du pétrole, ce qui est loin de la croissance de 2,4 % prévue dans l'édition de janvier. Dans les pays exportateurs de pétrole, on s'attend à une baisse d'activité de 5 %, en raison de la chute des prix du pétrole,contre une croissance de 2 % annoncée dans les prévisions de janvier, souligne l'institution de Breton Woods dans son rapport qui précise que dans bon nombre de pays exportateurs de pétrole, les mesures de réduction de la production pétrolière vont considérablement freiner la croissance.
La Banque mondiale prévoit une contraction de l'économie mondiale de 5,2% en 2020. "La prévision de base prévoit une contraction de 5,2% du PIB mondial en 2020, la récession mondiale la plus profonde en huit décennies, malgré un soutien politique sans précédent", indique la Banque mondiale, dans le même rapport. S'agissant des économies avancées, le PIBréel des Etats-Unis devrait baisser de 7% en 2020, avant de croître de 3,9% en 2021. Dans la zone euro, le repli du PIB réel devrait être de 9,1% en 2020, avant de remonter à 4,5% en 2021.
La Banque mondiale prévoit, dans son rapport, une croissance de l'Algérie de 1,9% pour l'année 2021, alors que le Fonds monétaire international a prévu, en avril dernier, une croissance de 6,2% pour 2021. Le repli de la croissance économique devrait être plus important en Algérie que la moyenne de tous les autres pays de la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA), estimée par l'institution de Breton Woods à -4,2%.
La Banque mondiale prévoit également, un repli du PIB réel de la Tunisie et au Maroc de 4% en 2020, avant de croître respectivement de 4,2% et 3,4% en 2021. La pandémie du Covid-19 et les mesures prises pour l'endiguer ont fortement ralenti l'activité à court terme de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, tout en accroissant l'aversion des investisseurs pour le risque, ce qui a exacerbé l'instabilité de la situation financière, indique le même rapport. Selon la Banque mondiale, l'activité économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord devrait se contracter de 4,2 %, sous l'effet de la pandémie et de l'évolution du marché du pétrole, ce qui est loin de la croissance de 2,4 % prévue dans l'édition de janvier. Dans les pays exportateurs de pétrole, on s'attend à une baisse d'activité de 5 %, en raison de la chute des prix du pétrole,contre une croissance de 2 % annoncée dans les prévisions de janvier, souligne l'institution de Breton Woods dans son rapport qui précise que dans bon nombre de pays exportateurs de pétrole, les mesures de réduction de la production pétrolière vont considérablement freiner la croissance.
La Banque mondiale prévoit une contraction de l'économie mondiale de 5,2% en 2020. "La prévision de base prévoit une contraction de 5,2% du PIB mondial en 2020, la récession mondiale la plus profonde en huit décennies, malgré un soutien politique sans précédent", indique la Banque mondiale, dans le même rapport. S'agissant des économies avancées, le PIBréel des Etats-Unis devrait baisser de 7% en 2020, avant de croître de 3,9% en 2021. Dans la zone euro, le repli du PIB réel devrait être de 9,1% en 2020, avant de remonter à 4,5% en 2021.


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