Alors que le journal s'est donné pour mission, depuis toujours, de couvrir tous les événements qui touchent à la communauté Algérienne au Canada et au Québec. La raison de cette impossibilité : l'entrave dont a été victime notre correspondant permanent à Montréal, sommé vertement de céder sa place à un invité de marque dans le pur style des régimes autocratiques, reléguant le journaliste au rôle de scribe au service des instances organisatrices, prié uniquement de restituer les événements en faisant fi de tout respect de sa dignité d'humain.
Selon quelle logique on demande à notre journaliste de vider les lieux d’une façon loin de tout respect et de toute règle de bienséance; quand au fond c’est un problème d’organisation qui était posé et dont le journaliste n’est aucunement responsable ' Surprenant de la part de personnes issues du monde du management et de la gestion. A moins que ce ne soit là, la relation archaïque qu’a la fondation avec le monde du journalisme.
Une conception que n’ont pu imposer ni les intimidations ni les assassinats pendant la décennie noire. Notre surprise est d’autant plus grande quand cela émane de la part de membres d’une élite sensée avoir quitté le pays pour fuir la médiocrité et les passe-droits mais qui se retrouvent à reproduire les mêmes comportements (et les mêmes réflexes) au Canada. Dommage pour les lauréats et la communauté qui méritent (certainement) mieux.
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Posté Le : 08/11/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Elwatan.com
Source : www.elwatan.com