Algérie

Calvaire dans les chalets



Calvaire dans les chalets
Les habitants des chalets de la localit'e B' Amrane, comme partout ailleurs, sont confront''es conditions de vie des plus lamentables. 'i Ahmed le d'nit si bien : « Le chalet devient carr'nt une chambre froide en hiver et se transforme en 've pendant l''. » Ce vieil homme n'exag' pas car l'occasion nous a ' donn''e v'fier. En effet, en cet ', le mercure a probablement enregistr'on degr'ecord. Les s'elles de la chaleur, aggrav'par les incendies qui ont ' signal'un peu partout dans la r'on 'ient innombrables sur les habitants de ces b'sses : maux de t' et au ventre, vomissement, diarrh' affaiblissement, 'nouissement ...etc. Ces demeures pr'briqu' causent des « d'ts » non seulement sur le plan moral, mais financier aussi 'eux qui les habitent. Car ces derniers sont continuellement contraints de mettre la main 'a poche pour rem'er aux d'illances caus' essentiellement par l'usure. « Celles constat' au niveau des sanitaires restent les plus d'orables », nous dit-on. Effectivement, plancher d'ad't le toit (assemblage de t' laisse entrer d''rmes quantit'd'eau de pluie 'ause des rivets de fixation qui s''atent sous la pression des grandes chaleurs. Pourtant, elles (ces b'sses provisoires) ont n'ssit'n budget colossal pour leur installation et leur montage. Et comme si leur malheur ne leur suffisait pas, leurs occupants ont ' somm'de payer des factures exorbitantes dans les brefs d'is. La premi' facture qui avoisine les 24 000 DA provient de L'ADE. Les locataires se sont mis d'accord avec les services de cette derni' pour 'blir un ''cier de payement concernant une partie de la facture relative au montant de la consommation. Mais ils ont refus'e s'acquitter du montant de 1200 DA d'urs'dans les travaux d'installation des nouveaux compteurs. Car, selon les plaignants, les travaux effectu'(un compteur, quelques m'es de tuyau, des rondelles et des colliers) ne valent m' pas le tiers de la facture. l'instar de l'ADE, l'OPGI est aussi venu enfoncer un peu plus le clou en invitant les infortun'locataires de s'approcher de leurs services afin de signer les contrats de location et en m' temps payer les redevances de loyer. L'une des personnes qui se sont d'ac' ''a' une veuve travaillant dans le cadre du filet social, s'est vue signifier qu'elle devait payer la somme de 50 000 DA. C'est l''ivalent de la dur'de l'occupation du chalet social depuis son attribution jusqu''ujourd'hui. Une moyenne de 1280 DA par mois. Les responsables de l'OPGI menacent les mauvais payeurs par leur exclusion des listes des b'ficiaires des logements sociaux. Ce qui suscite l'indignation et la col' des habitants qui s'interrogent : comment se fait-t-il qu'on leur exige une mensualit'n'use alors que leur habitation est consid'e, noir sur blanc, comme 'nt provisoire ' Ou encore comment le loyer du chalet sis '' Amrane est le m' que celui sis dans la commune de Boumerd'' Et qui prouve que les habitants des chalets seront bient'ecas'et ne seront pas jet'aux oubliettes ' Enorm'nt d'appr'nsions qui planent sur le devenir de ces habitants qui d'orent le manque de logements sociaux par rapport aux nombreuses demandes (850 selon l'APC). Et puisque ceux qui y existent ou ceux qui sont en cours de r'isation sont destin' en priorit'aux familles souffrant de l'exigu' (habitants hors des chalets).


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