Algérie


CAB
Les libérés exigent le salaire de novembreDu nouveau en ce qui concerne Samir Soualah. Annoncé sur la liste des départs, le latéral droit du CAB intéresse le nouveau staff technique, Halim Bouarara. Ce que confirme le joueur lors d'un bref appel téléphonique. «Mon manager m'a appris que le nouveau staff technique veux me garder jusqu'à la fin de saison. Je vais laisser mon agent faire son travail» explique le joueur«J'ai fait mon métier du mieux que j'ai pu»Soualah revient sur son bilan de la phase aller. Le défenseur du CAB se dit persuadé d'avoir fait son job et de n'avoir jamais triché. «Je suis revenu au CAB, parce que j'ai répondu à l'appel du c?ur. J'ai fait mon travail du mieux que j'ai pu. J'ai toujours travaillé sérieusement. Je n'ai pas compris la décision de la direction du club. Je n'ai pas cherché à comprendre. J'ai laissé faire.»«Prêt à rester»En ce qui concerne son avenir, Soualah ne cache pas son souhait de terminer la saison sous le maillot du CAB : «Si mon agent trouve un terrain d'entente avec le président, je suis prêt à rester. Je veux juste ne pas être lésé dans mes droits. Et même si le club ne veut pas me garder, je suis prêt à partir sans remous. Qu'on ne me lèse pas.»Les libérés exigent le salaire de novembreIls sont trois cadres de l'équipe à avoir été mis sur la liste des départs. Messali, Hadi Adel et Samir Soualah. Même si, selon les dernières informations en notre possession, Soualah pourrait terminer la saison sur demande de Halim Bouarara, ce dernier, qui est depuis quelques jours à la barre technique du CAB, connait très bien Soualah. Les deux hommes ont porté le maillot du CAB et ont joué côte à côte, avant que Bouarara raccroche les crampons.Ils risquent d'être déboutésSelon les spécialistes, le CAB serait dans son droit s'il refusait de payer les salaires dans leur totalité. Le CAB aurait décidé de ne pas remettre le salaire du mois de novembre aux joueurs mis sur la liste des libérés. Il semble que le CAB serait l'un des rares clubs à avoir remis à la Ligue des contrats avec la mention d'un salaire brut. Cette exigence vient des instances du football qui ont imposé de mettre le montant du salaire brut sur les contrats. Ainsi, si un joueur décidait de déposer son contrat auprès de la CRL, la chambre de résolution des litiges saurait exactement quelle somme le club aura déduit de chaque salaire brut, en enlevant l'IRG, l'impôt sur le revenu global, et les cotisations à la CNAS. D'où l'utilité pour le joueur d'être pris en charge ou d'être représenté par un agent agréé par la FIFA, comme le veut le professionnalisme.




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