Algérie

Ça bouge, mais pas beaucoup



Le dernier mouvement des chefs de cours n'a pas fait de vagues, la majorité étant sur place, car, la chancellerie a préféré la stabilité des chefs que les mouvements qui n'apportent absolument rien de neuf! À Alger, par exemple, on a préféré les tribunaux qui sont implantés stratégiquement, comme Bir Mourad Raïs, qui a vu le départ du président, sur le Ruisseau où il vient d'être promu «conseiller à la cour d'Alger»! Son collègue d'Hussein-Dey est monté au tribunal administratif de la capitale. Un renfort bienvenu pour la solide, agréable et inamovible présidente Farida Slimani, qui adore bosser avec des compétences sûres! Et Abderrazak Ariouat en est une! Avec Douniazed Guellati, la présidente du tribunal de Sidi-M'hamed-Alger, Liès Benmissiya, le discret président du tribunal de Dar El Beda, et les présidents des tribunaux de Rouiba, celui d'El Harrach, d'Hussein-Dey et de Bâb El Oued, cette équipe va tout faire pour ne pas décevoir les membres du conseil supérieur de la magistrature qui les a nommés, à Alger, cette véritable vitrine nationale! A El Harrach, rien n'est plus comme avant. Avec les Folla Ghezloune, Djamal Gasmi, Selma Bédri, Ahmed Oussadi, Med Boukhatem, Bouzid Khelloufi, Yahia Zitoun, Rachid Aouissi.Nous risquons de ne plus voir des magistrats de cette envergure, faute de formation, et de... niveau!


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