La commémoration de notre glorieuse Guerre de libération nationale, ce 1er novembre 2024, a été un triomphe. Dans un élan patriotique collectif qu'il a toujours su manifester dans les moments-clés de son histoire, le peuple algérien a fêté les 70 ans de sa Révolution, a acclamé son Armée et a honoré ses martyrs avec fierté, émotion et reconnaissance. C'était grandiose. C'est au cours de cet anniversaire hautement symbolique et si cher au coeur de chaque Algérien qu'Emmanuel Macron a décidé de se manifester, aussitôt revenu de sa visite dans son protectorat marocain. Avoir choisi la date du 1er novembre pour avouer ce que nous savions déjà, à savoir la responsabilité de la France dans le martyre de Larbi Ben M'hidi, héros de la Révolution, est de la dernière bassesse.
Je rappelle au petit trader des Rothschild qui précipite la France dans le chaos avec l'aide du Rassemblement National de la famille Le Pen que le boucher borgne Paul Aussaresses a lui-même avoué son crime il y a une vingtaine d'années. Le criminel Aussaresses, responsable des basses œuvres de la gestapo française à Alger, a reconnu avoir torturé et assassiné Ben M'hidi. Nous savons tout sur la façon ignoble dont notre brave martyr a été mis à mort, et le calvaire qu'il a enduré avec courage et dignité.
Nous interdisons à un narcissique promu président de la France par une oligarchie dégénérée de souiller notre héros national en posant ses sales pattes sur sa mémoire. Macron, ou qui que ce soit de la clique de son régime de corrompus ou de ses médias putrides truffés de pseudo-journalistes mais vrais fascistes, n'ont pas à prononcer le nom de Larbi Ben M'hidi et encore moins de le comparer à leur Jean Moulin qui a été un préfet de la France coloniale. Bas les pattes?! Ce n'est pas parce que vous avez tué nos martyrs que cela vous donne le droit d'en parler.
La moindre des choses est de vous taire ou alors de reconnaître le génocide que vous avez commis en Algérie pendant les 132 ans où vous l'avez polluée par votre présence.
Selon nos sources, Macron déambule, déprimé, à l'Elysée, tel l'empereur despotique romain Caligula (nom latin qui signifie « petite sandale », surnom qu'il détestait) lorsqu'il ruminait contre le Sénat. Le troisième empereur romain a laissé sa trace dans l'histoire comme étant instable, mégalomane, débauché (il a notamment entretenu une liaison incestueuse avec sa s'ur Julia Drusilla pendant des années) et devenu très impopulaire pour avoir augmenté les impôts afin de renflouer les caisses de l'empire qu'il avait vidées. Il est amusant de constater à quel point l'histoire semble se répéter. Macron va-t-il faire entrer un cheval au Sénat ?
Bah ! Au point où ils en sont ! Et, petite parenthèse, en faisant des recherches sur l'histoire romaine, on s'aperçoit qu'un Macron a existé à l'époque de Caligula. Il était préfet du prétoire romain au 1er siècle après JC, c'est-à-dire commandant de la garde prétorienne de Rome. Il a à son actif bon nombre d'exécutions de sénateurs et d'officiers gênants pour le pouvoir. Selon l'historien Tacite et l'auteur de biographies Suétone, Macron aurait même assassiné l'empereur Tibère, favorisant ainsi l'accès au pouvoir de Caligula. Celui-ci n'étant pas de nature reconnaissante, il a contraint Macron à se suicider en compagnie de sa femme Ennia Naevia à Ostie où ils s'apprêtaient à embarquer vers l'Egypte où Macron devait rejoindre son nouveau poste de gouverneur. Tout ce beau monde a fini très mal, car Caligula a lui aussi été assassiné trois ans plus tard par un centurion de sa garde personnelle. Cet intermède historique nous change de l'image véhiculée par les médias des oligarques qui avaient propulsé le président « jupitérien » au sommet de l'Olympe dont il a dégringolé piteusement aujourd'hui. Macron, un président-poupée articulé par le lobby sioniste
Pour en revenir à notre sujet après cette petite incursion dans l'époque romaine, Emmanuel Macron compte-t-il reconnaître la responsabilité de la France coloniale dans le meurtre de nos chouhada en citant un nom chaque 1er novembre ? Trêve d'hypocrisie ! Le sol de notre patrie a été abreuvé par le sang de près de six millions de martyrs depuis 1830 jusqu'à 1962. Sans compter les martyrs du devoir de la décennie sanglante sponsorisée notamment par la France. Votre président Mitterrand, grand résistant pétainiste, « voulait », en bon colonialiste qu'il était, un califat en Algérie et refusait de fournir des armes à notre armée pour défendre notre peuple qui se faisait égorger par les terroristes financés par l'Occident. Et puisque l'on parle de Mitterrand, Macron va-t-il citer à chaque anniversaire de notre glorieuse Révolution la responsabilité de son prédécesseur dans la décapitation de nos chouhada alors qu'il était ministre de la Justice et qu'il actionnait la guillotine pour exécuter nos moudjahidine de la manière la plus barbare qui soit comme, parmi tant d'autres ”“ près de deux cents ! -, Ahmed Zabana, Abdelkader Ferradj ou Fernand Iveton ? Nous rappelons au monarque narcissique français qu'il a déclaré en 2021 que le « système politico-militaire » algérien s'est construit sur « une rente mémorielle », et nous lui répondons que c'est lui qui instrumentalise la mémoire de nos martyrs en nous envoyant son communiqué le 1er novembre, histoire de gâcher l'ambiance.
En vain, d'ailleurs, car le peuple algérien a célébré les 70 ans de sa Révolution avec enthousiasme et a montré son attachement indéfectible à son Armée, n'en déplaise à tous les traîtres et aux envieux.
Ce président fantoche, poupée articulée non seulement par ce qui lui sert d'épouse et qui le manipule depuis son adolescence ”“ ce qui serait un moindre mal et ne regarde que ceux qui l'ont élu -, mais surtout par une oligarchie frelatée et un lobby sioniste particulièrement prégnant, avec des binationaux franco-israéliens au Parlement pour faire des lois en faveur d'Israël et des valets pour voter ces lois, comme la limace François Hollande, par exemple, devrait faire une croix sur des relations apaisées avec l'Algérie. Son ?'aplaventrisme écoeurant à l'entité nazisioniste génocidaire d'Israël, comme on l'a vu lorsqu'il a été applaudi au Parlement marocain pour avoir déclaré qu'Israël avait le droit de se défendre, et son choix de cautionner la colonisation du Sahara occidental par son vassal marocain, est un aveu de la mainmise des entreprises franco-sionistes dans le pillage des richesses sahraouies. Cette position affichée a définitivement clos le chapitre d'un quelconque partenariat entre la France et l'Algérie.
De plus, prendre parti pour la colonisation du Sahara occidental par le Maroc alors que le dossier de décolonisation est à l'ONU et que l'on est un pays membre du Conseil de sécurité est la preuve par A B que l'ONU est une coquille vide qui n'a plus aucune raison d'être.
L'intervention de notre ambassadeur Amar Bendjama il y a quelques jours au Conseil de sécurité suite à la parodie de vote de résolution concernant l'autodétermination du Sahara occidental et qui renouvelle le mandat de la Minurso est très explicite sur le rôle de l'ONU. Notre représentant y a dénoncé les pressions exercées sur les membres du Conseil de sécurité et sur les doubles standards qui sont pratiqués dans cette institution désormais obsolète.
Pour preuve, l'incapacité de l'ONU à mettre fin au génocide pratiqué impunément par l'entité nazisioniste sur les populations civiles en Palestine et au Liban, génocide auquel participe les FAR (les rats) marocains, il est utile de le rappeler. Que les esclaves bousbiriens hallucinés par les fumées de cannabis qui éructent sur les réseaux sociaux pour taper sur l'Algérie ferment leur clapet ! Vous n'êtes que des larbins sans honneur, sans histoire, et sans gloire.
La pédosphère que Macron a traîné derrière lui lors de son déplacement à Bousbirland, paradis des amateurs de chair fraîche, a pu déguster des croque-enfants à Marrakech, fournis par le Makhzen.
Mais cette cour d'épouvantails n'était que de l'esbroufe destinée à dissimuler les vrais objectifs de l'escapade au royaume du cannabis et de la pédophilie. Ce carnaval de morts-vivants, sans doute favorisé par la fête d'Halloween, cachait mal le fait que de nombreux chefs d'entreprise étaient de la partie. Et ils étaient nombreux, car il a fallu affréter deux avions pour caser tout le monde.
Mohsen Abdelmoumen
A suivre
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Posté Le : 07/11/2024
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Rédaction LNR
Source : www.lnr-dz.com